This report is part of the AFRHINET project under the ACP-EU Cooperation Programme in Science and Technology (S&T II). The overall aims of the project are to enhance options for sustainable integration of rainwater harvesting for irrigation through understanding adoption constraints and developing networks for capacity building and technology transfer. The African partners are Addis Ababa University and WaterAid-Ethiopia in Ethiopia, University of Nairobi and ICRAF-Searnet in Kenya, Eduardo Mondlane University in Mozambique, and University of Zimbabwe and ICRISAT-Zimbabwe in Zimbabwe.
These recommendations are a compilation of 2 regional studies at sub-Saharan Africa level which focused on research and technology transfer in the field of rainwater harvesting irrigatio nmanagement on one hand (section 3), and effective policy recommendations on the use of rainwater for off-season small-scale irrigation on the other (section 4). The regional studies upon which this transnational study is based come from the analysis of national studies in Ethiopia, Kenya, Mozambique and Zimbabwe.
Livelihoods, food security, and development processes in Sub-Saharan Africa are highly dependent on land management practices to generate natural ecosystem goods and services. Out of a total population of about 717 million people, almost 60 percent depend for their livelihood on agriculture, hunting, fishing, or forestry. However, unsustainable land management already is leading to large-scale land degradation trends, which pose a threat to food security and poverty alleviation in Sub-Saharan Africa. Climate change threatens to exacerbate and add to the existing vulnerabilities.
The aim of the rapid assessment is to support the transition from emergency post conflict recovery to a development approach. The completion of the water, sanitation, and hygiene, or WASH strategic framework in 2011 was intended to mark the beginning of this transition in the water resources sector. Among other things, the transition involved the adjustment of policy and strategy and possibly a rethinking of approaches as the government shifts from primarily supply-driven emergency and recovery assistance to sustainable development.
Over the past 25 years, Uganda has experienced sustained economic growth, supported by a prudent macroeconomic framework and propelled by consistent policy reforms. Annual Gross Domestic Product (GDP) growth averaged 7.4 percent in the 2000s, compared with 6.5 in the 1990s. Economic growth has enabled substantial poverty reduction, with the proportion of people living in poverty more than halving from 56 percent in the 1992 to 23.3 percent in 2009. However, welfare improvements have not been shared equally; there is increasing urban rural inequality and inequality between regions.
2015 a été une année marquante pour l’avenir de la planète et donc pour l’avenir de chaque femme, chaque homme, chaque enfant, fille ou garçon, aux quatre coins du monde. Deux événements importants – le Sommet des Nations Unies sur le développement durable 2015 et la COP21, sur le développement et le changement climatique, ont donné lieu à des engagements concrets et sans précédent à l’échelle mondiale pour éradiquer la pauvreté d’ici à 2030 et promouvoir la protection de l’environnement.
Cette publication offre de nombreux exemples concrets détaillant différentes manières de réengager les jeunes dans le secteur agricole. Elle montre à quel point des programmes éducationnels sur mesure peuvent offrir aux jeunes les compétences et la perspicacité nécessaires pour se lancer en agriculture et adopter des méthodes de production respectueuses de l’environnement. Beaucoup des approches ou des initiatives décrites dans cette publication sont issues des jeunes eux-mêmes.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
Lancée par le président brésilien Lula au début des années 2000, Fome Zero est une stratégie globale de lutte contre la faim, intégrant un ensemble de programmes publics d’accès à l’alimentation, de soutien à l’agriculture familiale et de développement d’activités génératrices de revenus, le tout dans un cadre impliquant fortement la société civile. Grâce à Fome Zero, le Brésil est souvent montré comme le modèle à suivre en matière de politique publique de lutte contre la faim. Mais quels sont les aléas du copier-coller de ce modèle ?