El Documento de Síntesis provee una síntesis de los conceptos y principios del Marco Común desarrollado dentro del contexto de la Plataforma de la Agricultura Tropical (TAP, por sus siglas en inglés). El objetivo del Marco Común de la TAP es promover una mayor coherencia y un mayor impacto del desarrollo de capacidades en apoyo a la innovación agrícola en los trópicos. El Marco Común fue desarrollado en el 2015 a través de un proceso altamente participativo, en el cual se acordó que el Marco debería proporcionar las bases conceptuales y una guía operativa.
La Guía Operativa provee una breve recapitulación de los fundamentos conceptuales y principios del Marco Común de la TAP así como una guía más detallada para la operacionalización del enfoque de rutas de doble vía del Desarrollo de Capacidades (DC) para los Sistemas de Innovación Agrícola (SIA). También ofrece una estrategia para el monitoreo y evaluación, así como una caja de herramientas que pueden ser útiles en las diferentes etapas del ciclo de DC para los SIA.
The Synthesis Document provides a synthesis of concepts and principles of the Common Framework developed under the Tropical Agriculture Platform (TAP). The objective of the TAP Common Framework is to promote better coherence and greater impact of capacity development in support of agricultural innovation in the Tropics. Developed in 2015 through a highly participatory process, it was agreed that the Framework should provide conceptual underpinnings and practical guidance.
This presentation was given for the SEARCA Forum-workshop on Platforms, Rural Advisory Services, and Knowledge Management: Towards Inclusive and Sustainable Agricultural and Rural Development, Los Banos, 17-19 May 2016. It introduced power asymmetries, how to empower members in innovation platforms, conflict management, negotiation and trust.
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
L’évaluation participative repose sur le principe d’une participation active des principales parties prenantes (dont les groupes les moins organisés) à l’exercice d’évaluation. Cette démarche présente un certain nombre d’atouts qui peuvent se transformer en limites quasi rédhibitoires si certains préalables ne sont pas remplis. La finalité de cet article est de discuter des avantages et des inconvénients de la participation, ainsi que des conditions à réunir pour que l’évaluation participative puisse atteindre ses objectifs.
Ce document offre un cadre de réflexion sur le renforcement des capacités, établi à partir des principaux enseignements tirés de l’expérience, qu’elle soit positive ou négative.
Dans cet article, à travers l’étude du cas de la filière forêt-bois-papier aquitaine, nous soulignons la nécessité d’intégrer une plus forte prise en compte des ressources naturelles dans les analyses en termes de systèmes d’innovation. Prenant appui sur la principale spécificité de cette filière, à savoir sa forte dépendance à la ressource ligneuse, le présent article est focalisé sur la manière dont cette dépendance configure le système.
Les démarches de développement local sont assez standardisées : à partir d'un diagnostic territorial, on met en oeuvre un appui technique et financier aux organisations locales, pour la réalisation de projets dont elles assureront la gestion. Mais les organisations locales sont de nature variée, toutes n'ont pas forcément envie de gérer les équipements qu'elles demandent ; ceux-ci sont plus ou moins complexes à gérer et certains relèvent des prérogatives communales. Enfin, le diagnostic initial dépend de la logique d'ensemble de l'action.
Cet article revient sur l’activisme des multinationales de l’agrofourniture et de l’agroalimentaire dans la gouvernance du secteur agricole. Pour ce faire nous nous appuyons sur deux cas de figure qui ont trait à la conception et à la diffusion d’innovations à l’échelle internationale : la technique du semis direct, et la mise en place de systèmes de certification « durable » des principales matières premières agricoles.