This paper presents the impacts of a participatory agroecological development project on food security and wealth levels. The Malawi Farmer to Farmer Agroecology project (MAFFA) encourages farmer experimentation, community involvement and farmer-to-farmer teaching on agroecology, nutrition and gender equity. Recent international assessments of agriculture have highlighted the urgent need for changes in farming practices in Sub-Saharan Africa, due to land degradation, high levels of food insecurity and anticipated climate change impacts.
The challenge of food security in Nigeria hinges on several factors of which poor technical efficiency is key. Using a stochastic frontier framework, we estimated the technical efficiency of agricultural households in Nigeria and tested for the significance of mean technical efficiency of food-secure and food-insecure agricultural households. We further assessed the determinants of agricultural households’ inefficiencies within the stochastic frontier model and adopted a standard probit model to assess the determinants of households’ food security status.
We analyse the impact of intensity of tillage on wheat productivity and risk exposure using panel household-plot level data from Ethiopia. In order to control for selection bias, we estimate a flexible moment-based production function using an endogenous switching regression treatment effects model. We find that tillage has a complementary impact on productivity and risk exposure. As the intensity of tillage increases, productivity increases and farmers’ exposure to risk declines. Our results suggest that smallholder farmers use tillage as an ex-ante risk management strategy.
L’An deux mille vingt du 15 au 16 décembre 2020 s’est tenu à Bobo Dioulasso au Centre Agricole Polyvalent de Matourkou un séminaire académique sur le thème : Rôles des services de vulgarisation agro-sylvo-pastorales dans la mise à échelle des Pratiques climatointelligentes. Ce séminaire est Co-organisé par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), l’Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles (INERA), World Agroforestry (ICRAF) et le Centre Agricole Polyvalent de Matourkou (CAP). La rencontre s’est tenue dans l’amphithéâtre 540 du CAP Matourkou.
Ce manuel illustre le changement climatique et ses impacts sur l’agriculture au Sénégal.
USAID/CINSERE (Services d’information climatiques pour améliorer la résilience et la productivité au Sénégal) est un projet de 4 ans qui vise à renforcer les capacités nationales pour la production, l’accès et la diffusion efficiente d’informations météorologiques et climatiques (IMC) et à développer des stratégies pour une mise à l’échelle durable de l’utilisation des services d’information météorologiques et climatiques (SIC) sur toute l’étendue du territoire sénégalais.
Du 24 au 26 novembre 2020, s’est tenu à Ségou au Mali, l’atelier des acteurs régionaux pour le développement du profil de risque climatique de la région de Ségou. L’atelier a été organisé dans le cadre du projet de « développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance en Afrique de l’Ouest », financé par l’Union européenne (UE) et mis en œuvre par le CCAFS au Mali, Niger et Sénégal en partenariat avec les instituts de recherches agricoles nationaux (IER, INRAN, ISRA).
L’utilisation des services hydrométéorologiques et climatiques (SHMCs) constitue une opportunité pour le Mali dans ses efforts visant à réduire la pauvreté, renforcer la résilience et s’adapter au changement climatique. En effet, les SHMCs permettent de protéger les populations contre les risques climatiques à court terme ou à évolution rapide (inondations et tempêtes) et à long terme ou à évolution lente (p. ex. sécheresses et changement climatique durable).
This work examined the determinants of the adoption of improved Irish potato technologies by farmers in three divisions of the Western Region of Cameroon. Data were collected from 170 farmers from 14 villages in our study area using a mixed-method approach—structured questionnaires, focus group discussion, key informant interviews, and participatory observations with individual farmers and farmers belonging to cooperative and common initiative groups. The study employed descriptive statistics and regression analysis to assess the adoption status of farmers and its determinants.