La Red Agricultura G-20 ha sido una iniciativa conjunta del Instituto Interamericano de Cooperación para la Agricultura (IICA) y la Secretaría de Agricultura, Ganadería, Desarrollo Rural, Pesca y Alimentación (SAGARPA) de México, de cara a la VII Cumbre del Grupo de los 20 (G20). El objetivo de esta red virtual fue vincular a estudiantes, académicos y el sector civil para que expresaran sus opiniones y analizaran a profundidad los temas de la agricultura con miras al encuentro de líderes del G20, celebrado en la ciudad mexicana de Los Cabos en junio de 2012.
Gérer un espace sensible sur un plan écologique suppose un dispositif de gestion qui repose sur un montage institutionnel, des équilibres politiques souvent subtils, et des règles de partage des responsabilités, des coûts et des ressources. La réussite de la gestion tient à la capacité à faire vivre ce dispositif, qui résulte souvent de longues négociations et traduit des équilibres parfois fragiles.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
Des facteurs structurels expliquent l’insécurité alimentaire en éthiopie : forte croissance démographique, faible productivité des parcelles agricoles, cultures majoritairement pluviales, réseau de communication quasi inexistant, etc. Malgré des moyens et des marges de productivité importants, les politiques agricoles n’ont pas permis de réduire les besoins en aide alimentaire de la population. Explications dans ce dossier.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
Con el objetivo de generar insumos para las iniciativas TIC de las instituciones públicas para la agricultura y rescatar las experiencias y lecciones aprendidas de los países de America Latina y el Caribe que llevan la vanguardia en este tema, a mediados de 2010 el Centro de Análisis para la Agricultura (CAESPA) del IICA inició un proceso de identificación y análisis de los principales factores que retrasan o limitan el impacto de las TIC en esas instituciones.
Este documento destaca el importante rol de La Estación Experimental “Indio Hatuey” que concentró los esfuerzos en el fomento de los procesos de innovación en la ganadería cubana, que fueron potenciados a inicios de la primera década del actual milenio cuando se dio un giro en el sistema convencional de transferencia tecnológica para fomentar la innovación y el desarrollo local rural.
Successful cases of innovation invariably demonstrate a range of partnerships, alliances and network-like arrangements that connect together knowledge users, knowledge producers and others involved in enabling innovation in the market, policy and civil society arenas. With this comes the realisation that public agricultural research needs to strengthen links to a wider set of players from the private and civil society sectors and, of course, farmers themselves. Public agricultural extension services have traditionally played the role of linking farmers to technology.
National governments, especially in sub-Saharan Africa, have limited budgets and are forced to make difficult funding decisions regarding the provision of social services and the support of agricultural programs. These provisions can play a critical role in rural incomes and agricultural production but due to data constraints, the effects of different types of social services on agricultural productivity in this region have not been analyzed in detail.