This report summarizes the findings of the Nigeria Agriculture Public Expenditure Review (NAGPER). The NAGPER was undertaken to achieve four main objectives: (i) establish a robust data base on public expenditure in the agricultural sector; (ii) diagnose the level and composition of agricultural spending in the recent past; (iii) understand the budget processes that determine resource allocation in the sector; and (iv) draw preliminary policy recommendations for agriculture. These objectives are admittedly modest.
En Afrique, 45% du territoire est situé dans des régions où l’agriculture pluviale est fragilisée par les sécheresses récurrentes. Au Burkina Faso, la dégradation des sols peut être limitée grâce à la technique du Zaï, technique manuelle traditionnelle très exigeante en main d’œuvre (300h/ha). La mécanisation de l'opération permet de passer à 40h/ha. L’amélioration de la technique touche aujourd’hui plusieurs centaines de fermes et d’artisans dans une vingtaine de villages du nord du Burkina Faso.
Les mutations du secteur agricole bamiléké (Ouest-Cameroun) ont été très importantes depuis le milieu des années 80, marqué par la chute des prix du café, alors principale production du pays Bamiléké, et par la crise économique au Cameroun. Dans cette thèse, le concept de dispositif (Foucault, Moisdon, Maugeri, RIDT-INRA) est l'outil principal d'analyse de ce secteur agricole.
La crise cacaoyère de la fin de la décennie 1970 a profondément bouleversé les stratégies de survie des producteurs. Elle s’est manifestée par la rareté des facteurs de production (la terre et le travail), la diminution de la production et du revenu, la transformation du milieu écologique et la baisse de la pluviométrie. Pour faire face à l’ensemble de ces contraintes, les producteurs ont adopté diverses stratégies dont l’objectif est soit de diversifier les sources de revenu, soit de réduire les charges familiales.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.
El concepto de desarrollo sostenible (DS) tiene como punto de referencia el Informe de la Comisión Bruntland, donde se le describe como un “proceso capaz de satisfacer las necesidades de las generaciones presentes sin comprometer la capacidad de las generaciones futuras de satisfacer las suyas” (ONU,1987). Desde esa perspectiva, el desarrollo económico y el uso racional de los recursos naturales están inexorablemente unidos en el tiempo y el espacio.
Tradicionalmente en Paraguay el fin exclusivo de la producción agrícola había sido la alimentación humana y animal, pero este país ha incursionado en la producción de materias primas a partir de cultivos para la obtención de combustibles de origen biológico, el consumo de combustibles fósiles y la eventual mezcla con los derivados de petróleo. Los datos incluidos en este artículo contribuyen a un posterior estudio sobre los posibles efectos de su uso en distintas proporciones de rubros agrícolas de consumo humano y animal para la producción de biocombustibles a nivel nacional.
Este trabajo reúne cuatro profundos estudios sobre cuestiones estratégicas del sector agropecuario, los alimentos y la agroenergía en el país, a partir de una mirada detallada del escenario internacional y el lugar de la Argentina en él. El momento de su lanzamiento no podría ser más oportuno. Hoy el mundo, y con él la Argentina, enfrentan el desafío de satisfacer la demanda creciente de alimentos y, al mismo tiempo, garantizar su acceso a cada vez más personas, sin poner en riesgo el desarrollo sustentable ni la seguridad energética.
La conférence sur « Agriculture écologique : atténuer le changement climatique, assurer la sécurité alimentaire et l’autonomie pour les sources de revenus ruraux en Afrique » s’est tenue à Addis – Abéba (Ethiopie) du 26 au 28 novembre 2008.
« Le riz, c’est la vie ».
Telle était la devise choisie, en 2004, par l’Organisation mondiale pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) afin de célébrer l’année internationale du riz. Nul qualificatif ne peut en effet mieux décrire le rôle stratégique joué par ce petit grain. Qu’il soit blanc, jaune, rouge, violet, gluant, consommé en grains, en pâte, en soupe, ou en dessert, le riz constitue un enjeu de taille pour la sécurité et la souveraineté alimentaires des pays en développement.