The purpose of this report is to show how development issues and policy initiatives shaped the design and structure of the science, technology, and innovation (STI) capacity-building program that eventually emerged from the partnership between the Government of Rwanda and the World Bank.
Agricultural and Rural Development (ARD) is a fundamental component of Ethiopia's economic growth and poverty reduction strategy.
The report analyses the contribution to date of agricultural water management to poverty reduction and growth in the in sub-Saharan Africa region, the reasons for its slow expansion and apparently poor track record, as well as the ways in which increased investment in agricultural water management could make a sustainable contribution to further poverty reduction and growth. The first chapter places agricultural water management in the context of the millennium development goals and paths to poverty reduction through agricultural growth.
The rural space is home to 53 percent of Nigeria's population and more than 70 percent of its poor. While it is well understood in Nigeria that financial exclusion of the rural population stunts development, still fewer than 2 percent of rural households have access to any sort of institutional finance.
This report summarizes the findings of the Nigeria Agriculture Public Expenditure Review (NAGPER). The NAGPER was undertaken to achieve four main objectives: (i) establish a robust data base on public expenditure in the agricultural sector; (ii) diagnose the level and composition of agricultural spending in the recent past; (iii) understand the budget processes that determine resource allocation in the sector; and (iv) draw preliminary policy recommendations for agriculture. These objectives are admittedly modest.
En Afrique, 45% du territoire est situé dans des régions où l’agriculture pluviale est fragilisée par les sécheresses récurrentes. Au Burkina Faso, la dégradation des sols peut être limitée grâce à la technique du Zaï, technique manuelle traditionnelle très exigeante en main d’œuvre (300h/ha). La mécanisation de l'opération permet de passer à 40h/ha. L’amélioration de la technique touche aujourd’hui plusieurs centaines de fermes et d’artisans dans une vingtaine de villages du nord du Burkina Faso.
Les mutations du secteur agricole bamiléké (Ouest-Cameroun) ont été très importantes depuis le milieu des années 80, marqué par la chute des prix du café, alors principale production du pays Bamiléké, et par la crise économique au Cameroun. Dans cette thèse, le concept de dispositif (Foucault, Moisdon, Maugeri, RIDT-INRA) est l'outil principal d'analyse de ce secteur agricole.
La crise cacaoyère de la fin de la décennie 1970 a profondément bouleversé les stratégies de survie des producteurs. Elle s’est manifestée par la rareté des facteurs de production (la terre et le travail), la diminution de la production et du revenu, la transformation du milieu écologique et la baisse de la pluviométrie. Pour faire face à l’ensemble de ces contraintes, les producteurs ont adopté diverses stratégies dont l’objectif est soit de diversifier les sources de revenu, soit de réduire les charges familiales.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.
El concepto de desarrollo sostenible (DS) tiene como punto de referencia el Informe de la Comisión Bruntland, donde se le describe como un “proceso capaz de satisfacer las necesidades de las generaciones presentes sin comprometer la capacidad de las generaciones futuras de satisfacer las suyas” (ONU,1987). Desde esa perspectiva, el desarrollo económico y el uso racional de los recursos naturales están inexorablemente unidos en el tiempo y el espacio.