This paper describes the strategic approaches to the development of a climate-smart village (CSV) model in the groundnut basin of Senegal. A CSV model is a participatory integrated approach using climate information, improved context-based technologies/practices aiming at reaching improved productivity (food and nutrition security), climate resilient people and ecosystem and climate mitigation.
Recently, a new approach to extension and climate information services, namely Participatory Integrated Climate Services for Agriculture (PICSA) has been developed. PICSA makes use of historical climate records, participatory decision-making tools and forecasts to help farmers identify and better plan livelihood options that are suited to local climate features and farmers’ own circumstances.
Climate forecasts have shown potential for improving resilience of African agriculture to climate shocks, but uncertainty remains about how farmers would use such information in crop management decisions and whether doing so would benefit them. This article presents results from participatory research with farmers from two agro-ecological zones of Senegal, West Africa. Based on simulation exercises, the introduction of seasonal and dekadal forecasts induced changes in farmers’ practices in almost 75% of the cases.
This brochure presents the five-year TAP-AIS project (2019-2024) funded by the European Union under the DeSIRA Initiative and implemented by the Food and Agriculture Organization (FAO) of the United Nations. The project has the main objective to strengthen capacities to innovate in national agricultural innovation systems (AIS) in the context of climate-relevant, productive, and sustainable transformation of agriculture and food systems in Africa, Latin America, Asia and the Pacific.
Le projet "Renforcer les capacités des systèmes d'innovation agricole: application et adaptation de l’approche de la plateforme d'agriculture tropicale (TAP-AIS)" vise à stimuler l'innovation pour la transformation des systèmes agricoles et alimentaires des pays partenaires en vue de mieux résister aux effets du changement climatique. Il intéresse ainsi le public technique ou pas, les jeunes et les media.
Dans de nombreux pays, les décideurs ont besoin d'informations pertinentes sur les systèmes d'innovation agricole (SIA) pour guider la formulation des stratégies et des instruments politiques de soutien à l'innovation.
Ce catalogue décrit une série de solutions agricoles pour les zones arides du Sahel et de la Corne de l'Afrique, utiles pour l'adaptation au changement climatique et l'atténuation de ses effets. Il est basé sur les interventions du programme Technologies pour la transformation de l'Agriculture en Afrique (TAAT). Ce programme, dirigé par l'Institut International d'Agriculture Tropicale (IITA), est à l'origine de nouvelles approches pour le déploiement de technologies éprouvées auprès des agriculteurs africains.
Depuis 2011, le programme de recherche du CGIAR sur le Changement Climatique, l’Agriculture et la Sécurité alimentaire (CCAFS) soutient la mise en œuvre d’une agriculture intelligente face au climat (AIC) au Sénégal à travers le développement et la mise à l’échelle de technologies et pratiques AIC avec l’Institut Sénégalais de Recherches Agricoles (ISRA). Dans ce cadre, le CCAFS a mis en œuvre de 2019 à 2021, un projet de « développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance en Afrique de l’Ouest ».
Du 3 au 5 au novembre 2020, s’est tenu à Kaffrine au Sénégal, l’atelier des acteurs régionaux pour le développement du profil de risque climatique de la région de Kaffrine. L’atelier a été organisé dans le cadre du projet de « développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance en Afrique de l’Ouest », financé par l’Union européenne (UE) et mis en œuvre par le CCAFS au Mali, Niger et Sénégal en partenariat avec les instituts de recherches agricoles nationaux (IER, INRAN, ISRA).
Cette étude vise à analyser les effets de la COVID-19 sur la chaîne de valeur du lait et des produits laitiers, ainsi que les stratégies développées par les acteurs socio- professionnels et privés pour contribuer à la relance par l’Etat de la chaîne de valeur. Elle s’est déroulée de fin mai à août 2020 et a porté sur 19 producteurs et 11 transformateurs laitiers. Elle montre que la hausse des importations de lait et de produits laitiers notée dès janvier 2020 s’est maintenue pendant la pandémie.