La production et la commercialisation de lait en Afrique de l’Ouest fait partie intégrante de l’économie et du mode de vie des familles d’éleveurs ruraux. La filière présente des potentiels de croissance certains avec un cheptel important, un secteur de la transformation dynamique et des débouchés en forte augmentation du fait de la croissance démographique et de l’urbanisation. Cette filière lait local est cependant aux prises à de nombreuses difficultés internes qui limitent fortement son développement.
Face à la crise mondiale causée par la pandémie de covid-19, les pays prennent des mesures.Les rayons des supermarchés restent approvisionnés pour le moment. Mais une crise pandémique prolongée pourrait rapidement mettre à mal les chaînes d’approvisionnement alimentaire, qui sont des réseaux complexes d’interactions entre exploitants, intrants agricoles, usines de transformation, services d’expédition, détaillants et bien d’autres.
Le développement territorial durable requiert des innovations aussi bien techniques, que sociales et institutionnelles. Favoriser ces innovations est l'objectif des récentes démarches d'ingénierie territoriale qui adaptent les processus d'innovation développés en entreprise. Dans cet article, la pertinence de cette orientation est discutée en s'appuyant sur les enseignements d'une recherche-action, menée dans un territoire « fragilisé » : l' « Alto Sertão du Piauí et du Pernambouco », dans le Nordeste brésilien.
Les travaux portant sur l’inclusion des petits exploitants dans l’agriculture contractuelle dans le monde dressent des constats contradictoires. En Algérie, l’État a engagé en 2009 un programme d’appui à l’intégration des filières lait et tomate industrielle, en accordant des primes aux entreprises et aux agriculteurs qui s’engagent ensemble dans des contrats de commercialisation.
Dans cet article, à travers l’étude du cas de la filière forêt-bois-papier aquitaine, nous soulignons la nécessité d’intégrer une plus forte prise en compte des ressources naturelles dans les analyses en termes de systèmes d’innovation. Prenant appui sur la principale spécificité de cette filière, à savoir sa forte dépendance à la ressource ligneuse, le présent article est focalisé sur la manière dont cette dépendance configure le système.
In Bangladesh, IFPRI has received support from USAID through its Policy Research and Strategy Support Program in Bangladesh (PRSSP) to work in the geographic areas targeted by Feed the Future interventions (known as the Zone of Influence) to construct this new WEAI4VC module.
Public-private partnerships (PPPs) have become a popular tool for governing rural development in a European context. PPPs are often presented as significant solutions for increasing both the effectiveness (problem-solving capacity) and the legitimacy of sustainable rural governance in terms of participation and accountability. In Sweden, where PPPs have played a marginal role, due to the EU cohesion policy they are now gaining ground as a model for the governance and management of natural resources in rural areas.
This paper addresses the question how public-private partnerships (PPPs) function as systemic innovation policy instruments within agricultural innovation systems. Public-private partnerships are a popular government tool to promote innovations. However, the wide ranging nature of PPPs make it difficult to assess their effects beyond the direct impacts they generate for the partners.
This study examines the role of public–private partnerships in international agricultural research. It is intended to provide policymakers, researchers, and business decisionmakers with an understanding of how such partnerships operate, how they promote the exchange of knowledge and technology, and how they contribute to poverty reduction.
Despite efforts over recent years to improve the status of agriculture in sub-Saharan Africa, little change has been noted, due partially to the fact that efforts have come from individual entities, which had short-term funding or lacked the necessary expertise to scale up research outputs. Disconnect between researchers and end-users has further hindered the success of such efforts.