El documento tiene como objetivo analizar los avances realizados por países de América Latina y el Caribe (ALC) en el fortalecimiento de la institucionalidad vinculada a la agricultura, el cambio climático y la seguridad alimentaria. El documento destaca iniciativas innovadoras, en ámbitos como la formulación de políticas, el desarrollo de marcos legales, el fomento de la investigación y la innovación, el desarrollo de mecanismos de financiamiento, y la gestión de riesgos climáticos, entre otros. La revisión está enfocada en las políticas nacionales
Mixed family farms produce almost half of the world food. Increasing food supply in developing countries requires increasing productivity of both land and farmers’ labour as key to increase household income, food security and reduce poverty. A research project developed into Uruguayan vegetable family farms (2006–2010) revealed that the main life quality problems were low family income, high work overload, lack of leisure time, and health problems associated with work. In many of these farms, labour productivity was lower than the opportunity cost of labour.
América Latina es una región muy heterogénea en términos de los niveles de desarrollo de los países y la madurez de sus SNI. Sin embargo, la región tiene una característica común que cruza desde la Patagonia hasta el Río Grande y desde el Pacífico hasta el Atlántico: es muy desigual socialmente hablando. Después de décadas de esfuerzos por avanzar más rá-pidamente en la senda del desarrollo, América Latina sigue siendo la región más desigual del mundo.
Los artículos reunidos en este volumen se basan en las ponencias presentadas por los expertos que participaron en el seminario internacional “Políticas para la agricultura en América Latina y el Caribe: competitividad, sostenibilidad e inclusión social”, realizado en la sede de la Comisión Económica para América Latina y el Caribe (CEPAL) en Santiago los días 6 y 7 de diciembre de 2011.
L’édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie. En 2018 les agricultures familiales seront encore menacées.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Au niveau familial, l’émigration constitue souvent une recherche de revenus, de sécurité, mais aussi une manière de faire face à des problèmes socio-politiques et des conflits. A l’encontre des clichés, l’émigration n’est pas forcément défavorable à l’agriculture familiale.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Le président Macky Sall veut mettre en pratique une série de réformes inclusives qui permettraient au Sénégal d’allier à la fois les « bienfaits de l’agrobusiness » et de l’agriculture paysanne. La balle est dans le camp des sociétés civiles et des organisations paysannes qui doivent saisir la chance d’orienter les politiques agricoles de leur pays. Si elles manquent cette opportunité, le gouvernement sénégalais risque de favoriser l’agrobusiness classique.