African agriculture is currently at a crossroads, at which persistent food shortages are compounded by threats from climate change. But, as this book argues, Africa can feed itself in a generation and help contribute to global food security. To achieve this Africa has to define agriculture as a force in economic growth by: advancing scientific and technological research; investing in infrastructure; fostering higher technical training; and creating regional markets.
The purposes of this course are to review the major reforms being considered internationally that aim to change the policy and institutional structure and operations of public sector agricultural extension systems, and to examine the advantages and disadvantages of each of these reforms as illustrated by the selected case studies. Aside from the introductory chapter, the course is organized into nine modules, which are conceived as part of a larger framework.
In this paper the authors provide climate smart agriculture (CSA) planners and implementers at all levels with a generic framework for evaluating and prioritising potential interventions. This entails an iterative process of mapping out recommendation domains, assessing adoption potential and estimating impacts. Through examples, related to livestock production in sub-Saharan Africa, they demonstrate each of the steps and how they are interlinked. The framework is applicable in many different forms, scales and settings.
This training manual was developed for Africa RISING, a USAID funded research-for-development (R4D) program that recognizes gender mainstreaming as key for achieving its overall research and development objectives. The program is based on an integrated action research and farming-systems approach, and strives for gender transformation. A gender capacity assessment in 2015 identified a pronounced demand among Africa RISING scientists for training in gender analysis. As a first step towards addressing this need, an annotated bibliography with selected sources for self-learning was developed.
Cet article revient sur l’activisme des multinationales de l’agrofourniture et de l’agroalimentaire dans la gouvernance du secteur agricole. Pour ce faire nous nous appuyons sur deux cas de figure qui ont trait à la conception et à la diffusion d’innovations à l’échelle internationale : la technique du semis direct, et la mise en place de systèmes de certification « durable » des principales matières premières agricoles.
Quels sont les effets de l’implantation de méga-exploitations agricoles sur les différents groupes d’intérêt des territoires locaux ? Cette implantation provoque-t-elle de fortes ruptures ou une simple accélération des dynamiques en cours ? Sur la base d’une étude de cas à Madagascar, cet article s’intéresse aux recompositions du système agraire à Madagascar engendrées par l’installation récente d’une entreprise privée étrangère. Tandis que l’emploi se développe au bénéfice des plus petits agriculteurs, l’accès à la terre évolue au détriment des éleveurs les plus aisés.
Cet article tente de relever ce qui, en économie agricole ou agroalimentaire et en statistique agricole, contribue à définir « l’agriculture de firme » parmi l’ensemble des exploitations agricoles françaises. Même si l’exploitation familiale tend à éclater, elle reste la norme du paysage rural français. Ce qui nous intéresse ici renvoie à la « théorie de la firme », lieu de répartition stratégique entre le travail et le capital.
Fin des années 1990 : le Brésil adopte une politique agricole duale fondée sur l’appui à l’agrobusiness et à l’agriculture familiale. Dans ce contexte, l’un des principaux enjeux porte sur la définition d’un modèle agricole destiné à améliorer le soutien à une agriculture familiale longtemps niée par les politiques agricoles successives. Cet article participe à cette réflexion, toujours d’actualité, en discutant les difficultés d’accompagnement de la « modernisation » de ce type d’agriculture.
Une étude de terrain portant sur les effets de l’application du second pilier de la PAC en France révèle un lien étroit entre de nouvelles formes juridiques d’exploitation et l’évolution du statut des femmes dans la profession agricole. En effet, après n’avoir longtemps été que des « épouses d’agriculteurs », celles-ci sont devenues « agricultrices » à part entière. L’analyse des entretiens réalisés dans six territoires ruraux représentatifs des enjeux nationaux montre que le développement de ces exploitations sociétaires (GAEC, EARL, CUMA) donne davantage de visibilité au travail féminin.
The Agribusiness for Trade Competitiveness Project (ATC-P), branded as Katalyst, is a pioneer market systems development project contributing to sustainable poverty reduction in Bangladesh. It is implemented by Swisscontact under the umbrella of the Ministry of Commerce, Government of Bangladesh. The project has been operating in Bangladesh since 2003 in three phases.