The Sourcebook is the outcome of joint planning, continued interest in gender and agriculture, and concerted efforts by the World Bank, FAO, and IFAD. The purpose of the Sourcebook is to act as a guide for practitioners and technical staff inaddressing gender issues and integrating gender-responsive actions in the design and implementation of agricultural projects and programs. It speaks not with gender specialists on how to improve their skills but rather reaches out to technical experts to guide them in thinking through how to integrate gender dimensions into their operations.
Farmers in Asia like to grow cassava because the crop will tolerate long dry periods and poor soils, and will produce reasonable yields with little inputs. Most farmers realize, however, that cassava production on slopes can cause severe erosion, while production without fertilizer inputs may lead to a decline in soil productivity. Research has shown that cassava yields can be maintained for many years with adequate application of fertilizers, and that there are various ways to reduce erosion.
The study first identified fully efficient farmers and then estimated technical efficiency of inefficient farmers, identifying their determinants by applying a Zero Inefficiency Stochastic Frontier Model (ZISFM) on a sample of 300 rice farmers from central-northern Thailand. Next, the study developed scenarios of potential production increase and resource conservation if technical inefficiency was eliminated. Results revealed that 13% of the sampled farmers were fully efficient, thereby justifying the use of our approach.
Le président Macky Sall veut mettre en pratique une série de réformes inclusives qui permettraient au Sénégal d’allier à la fois les « bienfaits de l’agrobusiness » et de l’agriculture paysanne. La balle est dans le camp des sociétés civiles et des organisations paysannes qui doivent saisir la chance d’orienter les politiques agricoles de leur pays. Si elles manquent cette opportunité, le gouvernement sénégalais risque de favoriser l’agrobusiness classique.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.
Lancée par le président brésilien Lula au début des années 2000, Fome Zero est une stratégie globale de lutte contre la faim, intégrant un ensemble de programmes publics d’accès à l’alimentation, de soutien à l’agriculture familiale et de développement d’activités génératrices de revenus, le tout dans un cadre impliquant fortement la société civile. Grâce à Fome Zero, le Brésil est souvent montré comme le modèle à suivre en matière de politique publique de lutte contre la faim. Mais quels sont les aléas du copier-coller de ce modèle ?
Des facteurs structurels expliquent l’insécurité alimentaire en éthiopie : forte croissance démographique, faible productivité des parcelles agricoles, cultures majoritairement pluviales, réseau de communication quasi inexistant, etc. Malgré des moyens et des marges de productivité importants, les politiques agricoles n’ont pas permis de réduire les besoins en aide alimentaire de la population. Explications dans ce dossier.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
C’est un pays-continent, planté au milieu de l’Afrique centrale, dont les possibilités agricoles et rurales sont énormes. Les dirigeants de la République démocratique du Congo doivent cependant dépasser une vision extractive de l’économie et renforcer les véritables forces productrices, essentiellement agricoles, tout en sauvegardant le fabuleux patrimoine naturel du pays. En élaborant un Code agricole, le gouvernement congolais affiche l’ambition de se doter de moyens pour relancer l’agriculture, la pêche et l’élevage.
Selon Olivier De Schutter, l’agroécologie peut doubler la production alimentaire en 10 ans, tout en réduisant la pauvreté rurale et en apportant des solutions au changement climatique. Au Burkina Faso, des initiatives et projets agroécologiques voient le jour. Ce reportage de 17 minutes part à la rencontre de ces praticiens de l’agroécologie.