Este texto presenta un recuento de los logros alcanzados mediante un conjunto de políticas públicas que se han aplicado a lo largo del tiempo en la Argentina, muchas de las cuales se continúan y coordinan en el marco del Programa Agricultura Inteligente. Esas políticas han permitido encontrar respuestas a preocupaciones como el aumento de la productividad, los efectos del cambio climático, el uso adecuado de los recursos fundamentales del agua y la tierra y la menor utilización de energías altamente contaminantes, entre otras.
Esta guía, para el diagnóstico de los SisNIAs plantea un nabordaje con base en tres ejes de análisis: i) Caracterización de la producción y del sistema de ciencia y tecnología, donde se desarrolla la situación productiva del país, generación de conocimiento, dominio tecnológico y base técnica de producción; ii) Caracterización de los actores del sistema y sun papel en la inducción de la innovación, identificando a los principales actores y el rol que cumplen en el sistema; iii) Caracterización de la institucionalidad del SisNIA, sustentada en los marcos legales, estímulos y obstáculos a la
Impératif de développement et impératif de lutte contre le changement climatique sont plus que jamais liés. Le changement climatique accentue les inégalités en touchant de plein fouet les populations les plus pauvres. En accentuant la vulnérabilité de ces pays, il compromet chaque jour un peu plus leurs chances de se développer. C’est pourquoi, depuis 2007, Coordination SUD1 et le RAC-France ont décidé d’unir leurs forces pour peser davantage sur la position de la France dans le cadre des négociations internationales sur le climat.
Esta Política de Estado se sustenta en cuatro ejes temáticos, que hemos convenido en llamar los pilares de la política: a) competitividad; b) innovación y desarrollo tecnológico; c) gestión de los territorios rurales y agricultura familiar; y d) cambio climático y gestión agroambiental. Se adiciona un eje transversal, que indica los principales alineamientos institucionales que se implementarán para hacerla realidad.
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
Les échanges commerciaux sur le marché mondial s’accélèrent. On constate l’émergence de nouveaux acteurs ainsi que l’intensification des rapports Sud-Sud. Ces caractéristiques peuvent-elles modifier la face de la mondialisation et ouvrir de nouvelles formes de négociation aux filières agricoles du Sud ? Les ONG et autres associations à but non lucratif ne seraient en tous les cas plus les seules à défendre la durabilité et l’agriculture familiale. Mais alors, quel est le rôle de ces ONG ?