La Representación del IICA en Bolivia identifcó, dentro de su Estrategia de Cooperación Técnica 2014-2018 para el país, a la agricultura familiar como un pilar de focalización en las acciones y proyectos que se desarrollan en apoyo y por solicitud de las instituciones públicas, privadas, académicas y otros socios estratégicos.
Este documento tiene por objetivo principal presentar un marco conceptual orientador del proyecto a las Representaciones y otras instancias del IICA, así como a las instituciones contraparte nacionales y subnacionales, las organizaciones sociales y económicas, las instancias territoriales de articulación de los actores institucionales y sociales, las redes y centros de investigación, que se constituyen en aliados institucionales del IICA para la implementación de este trabajo.
Se espera que este plan sea la hoja de ruta, tanto para los líderes locales, como para los funcionarios de instituciones que apoyan el territorio. Aquí podrán encontrar las prioridades identificadas por los actores y las líneas de acción que se deben seguir para alcanzar los objetivos planteados. No está de más señalar que la puesta en práctica de este plan requiere del esfuerzo mancomunado de todos los actores sociales del territorio, así como de toda la ayuda financiera y técnica que puedan prestar los actores institucionales.
Contiene: 1 Escenarios sobre la evolución de los biocombustibles según los cambios en la matriz energética global. 2 Potencialidades, ventajas comparativas y estrategias por tipo de países. 3 Posibles impactos socioeconómicos de la producción de biocombustibles. 4 Posibles impactos ambientales. 5 Implicaciones institucionales y geopolíticas.
Súmario: 1 Antecedentes. 2 El hambre cero. 3 Conceptos y principios. 4 Estado y sociedad en la promoción de la seguridad alimentaria y nutricional. 5 Desarrollos y desafíos en el combate a la inseguridad alimentaria y nutricional. 6 Características del sistema nacional de seguridad alimentaria y nutricional. 7 Directrices de la política nacional de seguridad alimentaria y nutricional. 8 Biocombustibles, cambios climáticos y seguridad alimentaria y nutricional. 9 Brasil en el escenario internacional. 10 Principales desafíos.
Dans le cadre de ce projet (2015-2018), la FAO a travaillé dans 21 pays (voir la carte ci-dessous) au travers de partenariats avec des OSC nationales pour la réalisation d’ateliers de sensibilisation et de renforcement des capacités afin de: Améliorer les connaissances et la compréhension des OSC par rapport aux DVGF; Accroître leurs compétences en matière de construction et connexion de réseaux et de plaidoyer pour défendre leurs droits fonciers et renforcer les partenariats pour une meilleure application des DVGF à tous les niveaux; Renforcer leurs capacités pour une participation e
Lancée par le président brésilien Lula au début des années 2000, Fome Zero est une stratégie globale de lutte contre la faim, intégrant un ensemble de programmes publics d’accès à l’alimentation, de soutien à l’agriculture familiale et de développement d’activités génératrices de revenus, le tout dans un cadre impliquant fortement la société civile. Grâce à Fome Zero, le Brésil est souvent montré comme le modèle à suivre en matière de politique publique de lutte contre la faim. Mais quels sont les aléas du copier-coller de ce modèle ?
C’est un pays-continent, planté au milieu de l’Afrique centrale, dont les possibilités agricoles et rurales sont énormes. Les dirigeants de la République démocratique du Congo doivent cependant dépasser une vision extractive de l’économie et renforcer les véritables forces productrices, essentiellement agricoles, tout en sauvegardant le fabuleux patrimoine naturel du pays. En élaborant un Code agricole, le gouvernement congolais affiche l’ambition de se doter de moyens pour relancer l’agriculture, la pêche et l’élevage.
La production et le commerce du lait sont révélateurs des enjeux de la lutte contre la pauvreté. La volatilité des prix du lait sur les marchés internationaux constituerait l’une des principales entraves au développement de filières laitières dans les pays du Sud. Cette année, la production de lait des pays pauvres représentera pourtant 48% de la production laitière mondiale; mais les produits laitiers importés du Nord mettent en difficulté les producteurs locaux.
Au moins 2,5 millions d’hectares de terres ont été achetés en Afrique par des états étrangers, des multinationales ou des fonds de pension, soit l’équivalent du territoire de la Belgique. C’est ce que révèle un rapport de la FAO – l’Agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation. La FAO s’inquiète des violations des droits des paysans que ces accaparements de terres peuvent entraîner, et s’interroge sur la participation des populations locales aux bénéfices générés. Mais elle y voit avant tout une perspective de développement. Au profit de qui ?