According to the authors of this paper, actual methods of scaling are rather empirical and based on the premise of ‘find out what works in one place and do more of the same, in another place’. These methods thus would not sufficiently take into account complex realities beyond the concepts of innovation transfer, dissemination, diffusion and adoption. As a consequence, scaling initiatives often do not produce the desired effect.
Multi-stakeholder platforms (MSPs) are seen as a promising vehicle to achieve agricultural development impacts. By increasing collaboration, exchange of knowledge and influence mediation among farmers, researchers and other stakeholders, MSPs supposedly enhance their ‘capacity to innovate’ and contribute to the ‘scaling of innovations’. The objective of this paper is to explore the capacity to innovate and scaling potential of three MSPs in Burundi, Rwanda and the South Kivu province located in the eastern part of Democratic Republic of Congo (DRC).
Processes of designing for systemic innovation for sustainable development (SD) through the lens of three long-term case studies are reported. All case studies, which originated from the SLIM (Social Learning for the Integrated Management and Sustainable Use of Water at Catchment Scale) Project, funded within the EU Fifth Framework Program (2001–2004), constitute inquiry pathways that are explored using a critical incident approach.
In recent years, the notion of doing research with multiple partners has become an important concept in international development. This reflects the belief that partnerships are important for solving complex problems, reducing costs and competition for the same resources, increasing efficiency and ownership, and ensuring greater accountability.
Transgenic maize was approved in Brazil in 2008/2009. In 2012, it occupied 73% of the country maize growing area. This high adoption rate confirms studies indicating that technology use has been the major driving force in Brazilian agriculture. Maize seed market in the world has been a concentrated sector. Although, when this sector is associated with transgenesis, this concentration increases sharply. In one side, there is the idea that companies can benefit from gains of scale and complementarities to maximize their efficiency in research and development (R&D).
L’objectif de cet article est de décrire et de comprendre les comportements à innover des coopératives agricoles. Il mobilise le cadre théorique de l’économie de l’innovation. Exploitant une enquête postale sur la région Midi-Pyrénées, la typologie des comportements à innover obtenue après analyse statistique permet d’identifier cinq classes d’entreprises coopératives. Du fait de leur importance à l’amont des filières et des territoires, les coopératives apparaissent comme des intermédiaires incontournables pour répercuter les contraintes de l’aval auprès des exploitants agricoles.
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
L’évaluation participative repose sur le principe d’une participation active des principales parties prenantes (dont les groupes les moins organisés) à l’exercice d’évaluation. Cette démarche présente un certain nombre d’atouts qui peuvent se transformer en limites quasi rédhibitoires si certains préalables ne sont pas remplis. La finalité de cet article est de discuter des avantages et des inconvénients de la participation, ainsi que des conditions à réunir pour que l’évaluation participative puisse atteindre ses objectifs.
La présente note commence par indiquer brièvement en quoi une politique de la concurrence est importante pour les économies en développement et en transition. Elle aborde ensuite certains éléments essentiels de l’établissement d’une culture de la concurrence. Idéalement, ce processus devrait tout d’abord consister en une « évaluation des besoins » dans différents domaines, qui permettra probablement de dresser une liste de mesures à hiérarchiser et à prendre.
Ce document examine les approches suivies actuellement en ce qui concerne le renforcement des capacités commerciales dans les pays africains. Ce but est de:
Identifier des mécanismes permettant de promouvoir un processus de formulation de la politique commerciale de type participatif et de l’intégrer dans les stratégies nationales de développement et de lutte contre la pauvret.
Etudier le rôle que pourraient jouer les donneurs en facilitant et en soutenant le processus d’élaboration de la politique commerciale.