Global Open Data for Agriculture and Nutrition (GODAN) and The Haller Foundation joined forces in 2016 when the UK based charity released version one of the Haller Farmers App.
In order to bring about sustainable transformation and business orientation into the Indian Agriculture sector, there have been schematic interventions to promote unique forms of social capital for farmers, called Farmer Producer organizations (FPOs). Many stakeholders, particularly NGOs, are involved in promoting and handholding these FPOs in a target-driven mode by promoting a large number of such institutions across the country.
India is witnessing dwindling gains from agriculture for the smallholder farmers because of high cost of inputs, changing climate impacting production, fluctuating market prices of outputs, and weak delivery of services at the last mile. The value share of farmers in the commodity supply chain needs to be increased to ensure that farming remains a remunerative livelihood option. There has to be a wider acceptance of the fact that the country needs partnerships among multiple players with complementary knowledge and expertise for its agricultural development.
Policy briefs are an effective tool to communicate policy messages using evidence. Thus, the Department of Agriculture Extension and Cooperatives (DAEC) and the Department of Planning and Cooperation (DOPC) of the Ministry of Agriculture and Forestry (MAF) in Lao PDR organized a multi-stakeholder policy dialogue process with support from FAO’s TAP-AIS project to spur discussion and gather evidence for this policy brief. Stakeholders involved in the policy dialogue process included representatives from the private sector, farmers organizations, academia, NGOs and the government.
Conventional approaches to agricultural extension based on top–down technology transfer and information dissemination models are inadequate to help smallholder farmers tackle increasingly complex agroclimatic adversities. Innovative service delivery alternatives, such as field schools, exist but are mostly implemented in isolationistic silos with little effort to integrate them for cost reduction and greater technical effectiveness.
L’une des avancées les plus importantes dans le domaine de l’observation de la terre est la découverte des indices spectraux, ils ont notamment prouvé leur efficacité dans la caractérisation des surfaces agricoles, mais ils sont généralement définis de manière empirique. Cette étude basée sur l’intelligence artificielle et le traitement du signal, propose une méthode pour trouver un indice optimal. Et porte sur l’analyse d’images issues d’une caméra multi-spectrale, utilisée dans un contexte agricole pour l’acquisition en champ proche de végétation.
Le projet RIVAGE veut favoriser l’adoption de pratiques alternatives pour gérer les impacts de la pollution diffuse dans le bassin versant de la rivière Pérou en Guadeloupe. Son objectif est de produire et partager les connaissances sur les processus, les impacts et les pratiques innovantes avec les acteurs du territoire. Pour faciliter la prise en compte des résultats, le projet a créé une « école-acteurs ». L’école-acteurs est un espace d’échanges autour des thématiques liées à la pollution diffuse agricole.
L’objectif de cet article est d’explorer les défis et les contraintes de l’adoption des technologies de l’agriculture de précision, en se plaçant du point de vue des entreprises opérant dans le secteur des nouvelles technologies agricoles. L’étude s’appuie sur une approche qualitative moyennant une analyse de contenu issue de huit entretiens semi-directifs.
L’herbe pâturée est l’aliment qui coûte le moins cher dans une ration et la bonne gestion de l’herbe passe entre autre par une connaissance des quantités disponibles. Afin de simplifier et d’automatiser ces mesures d’herbe, et ainsi contribuer au maintien voire au développement du pâturage, le projet HERDECT s’est attaché à construire des méthodes d’estimation de la biomasse des prairies à partir d’outils de télédétection (d’acquisition à distance) et à en estimer la faisabilité opérationnelle.
L’accès au financement des petits exploitants ou des organisations constitue de plus en plus des mesures de protection sociale tout en améliorant la cohésion sociale des populations (Hendriks, 2019). Cette idée n’est pas dissociable de l’environnement camerounais dont l’Etat a souscrit pour les Objectifs de Développement Durable. Dans ce cadre, on peut se demander : quelle est l’influence de la protection sociale, notamment dans sa dimension inclusive en du financement de l’agriculture sur la cohésion sociale à l’Ouest-Cameroun ?