Au moins 2,5 millions d’hectares de terres ont été achetés en Afrique par des états étrangers, des multinationales ou des fonds de pension, soit l’équivalent du territoire de la Belgique. C’est ce que révèle un rapport de la FAO – l’Agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation. La FAO s’inquiète des violations des droits des paysans que ces accaparements de terres peuvent entraîner, et s’interroge sur la participation des populations locales aux bénéfices générés. Mais elle y voit avant tout une perspective de développement. Au profit de qui ?
Les partisans de la souveraineté alimentaire veulent développer les agricultures locales, tandis que les avocats de la libéralisation vantent les bienfaits d’un approvisionnement à moindre coût sur les marchés. Les premiers pensent que les Etats doivent définir leur politique agricole pour répondre aux besoins de leurs populations, les seconds préfèrent le concept de « sécurité alimentaire », affirmant qu’il reconnaît aussi à chaque citoyen le droit de se nourrir à sa faim. Le combat pour la souveraineté a du mal à s’imposer dans l’arène politique.
Depuis une dizaine d’années, SOS Faim développe avec ses partenaires latino-américains, une nouvelle stratégie pour endiguer la pauvreté rurale : le développement territorial rural (DTR). On peut définir le DTR comme étant une dynamique d’animation et de concertation entre acteurs publics et privés (entre autres les Organisations Paysannes) sur un territoire donné, en vue d’améliorer durablement les conditions économiques et sociales de sa population.
The Establishment of the Rahad Scheme in Eastern Sudan in the 1970s established an agricultural innovation system where formal actors such as extension, research, finance institutions and informal actors such as agro pastoral organizations are networking to provide better livelihoods within the irrigated scheme area. This investigation focuses on the roles and interactions of agro pastoral organizations and finance institutions in relation to extension work in Rahad Scheme.
This study describes the evolving context and organisational linkages in the agricultural innovation system of Azerbaijan and suggests ways to promote effective organisational ties for the development, distribution and use of new or improved information and knowledge related to agriculture. Graph-theoretic principles and concepts are employed to assess the existing organisational linkages vital for agricultural innovations.
In order to realize the potential of agricultural innovation in family farming, national priorities of sustainably increasing food production and productivity, and reducing hunger and poverty, require rural knowledge institutions to be stronger and communication processes to be improved. This brief synthesizes the focus of FAO’s research and extension branch on transforming agricultural innovation systems of member countries.
This book discusses innovation problems and opportunities for family farming in the different regions of the American continent, as well as the role of hemispheric, regional and national agrifood research systems. Likewise, it provides a description of the main innovation actions and projects promoted by IICA, and the main success cases over recent years.
La obra que nos complace presentar reúne un conjunto de estudios de caso y un análisis transversal de las políticas públicas para la agricultura familiar en once países latinoamericanos, complementados por un ensayo interpretativo acerca de las implicaciones para políticas públicas derivadas de los principales eventos internacionales del Año Internacional de la Agricultura Familiar en América Latina.
Este documento está pensado para dar una respuesta integrada a las necesidades específicas de los jóvenes rurales, trabajando desde temas de empoderamiento personal y grupal como autoestima, liderazgo, trabajo en equipo y comunicación, etc.; hacia otros más técnicos como asociatividad, generación de empresas, formulación de proyectos, gestión territorial y políticas públicas, entre otros. Procurando con ello una preparación más holística para enfrentar los retos de la ruralidad y las capacidades suficientes para tener un mejor acceso a las oportunidades de su entorno.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.