Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
L’agriculture de conservation (AC) obéit à trois principes : travail du sol minimal, couverture du sol permanente et multiculture. Partant de ses avantages avérés pour l’écologie du sol, la séquestration de carbone et son adoption massive dans quelques régions du monde, elle est présentée par ses promoteurs comme un système durable convenant à tous contextes. Dès lors elle a été mondialement diffusée au nom du développement durable.
C’est un pays-continent, planté au milieu de l’Afrique centrale, dont les possibilités agricoles et rurales sont énormes. Les dirigeants de la République démocratique du Congo doivent cependant dépasser une vision extractive de l’économie et renforcer les véritables forces productrices, essentiellement agricoles, tout en sauvegardant le fabuleux patrimoine naturel du pays. En élaborant un Code agricole, le gouvernement congolais affiche l’ambition de se doter de moyens pour relancer l’agriculture, la pêche et l’élevage.
Au moins 2,5 millions d’hectares de terres ont été achetés en Afrique par des états étrangers, des multinationales ou des fonds de pension, soit l’équivalent du territoire de la Belgique. C’est ce que révèle un rapport de la FAO – l’Agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation. La FAO s’inquiète des violations des droits des paysans que ces accaparements de terres peuvent entraîner, et s’interroge sur la participation des populations locales aux bénéfices générés. Mais elle y voit avant tout une perspective de développement. Au profit de qui ?
Este documento describes las actividades desarroladas por CGIAR y Colombia que ha servido extremadamente bien como sede para la investigación eco-regional que hace el CIAT y también ha facilitado las transferencias de nuevas tecnologías desde América tropical hasta África al sur del Sahara y el sudeste asiático. Además, la sede del CIAT en Cali ha servido de punto lógico para las operaciones regionales de otros Centros patrocinados por el CGIAR —en particular Bioversity International y el Centro Internacional de Mejoramiento de Maíz y Trigo (CIMMYT)
This paper introduces a practical e-learning system, identified as Knowledge Exchange E-learning System (abbr. KEES), for knowledge distribution in rural areas. Particularly, this paper is about providing a virtual teaching and learning environment for small holders in agriculture in those rural areas.
Participatory communication in development aims to facilitate the integration of interpersonal communication methods with conventional and new media channels, with the focus on encouraging all stakeholders to participate in the process. The growth of internet-based technologies has created new opportunities for facilitating this participation and enhancing the ability of resource-poor communities to access information and support and to share experiences and knowledge.
Research results and FAO National Aquaculture Sector Overview (NASO) fact sheets show that female participation rates vary by type and scale of enterprise and country. Women are frequently active in hatcheries and dominate fish processing plant labourers. Women’s work in small-scale aquaculture frequently is unrecognized, under or unpaid. Most aquaculture development projects are not gender sensitive, and aquaculture success stories often do not report gender dimensions; projects can fail if their designs do not include gender.
In this paper, results from a study on the use of improved coffee production technology schemes among smallholder coffee producers in three prominent coffee producing regions in Honduras are presented. The impact of various schemes (trajectories) in which different agents influence the producers’ decision to use new technologies was analyzed. In particular, there are differences in the influence of a) private coffee buying organizations and b) government and public development agencies on the innovation behavior of coffee growers.
The objective of this note is to provide the opportunities for exploiting the information and communication technologies (ICT) for building capacity in addressing the challenges for formal agricultural education in the context of emerging challenges for agriculture and its development. It includes key messages from various GCARD Regional Consultations