The Agriculture Technology Program for Turkmenistan (AgTech) takes a comprehensive approach to agricultural development in Turkmenistan by implementing high-impact activities in the livestock and greenhouse horticulture sectors to achieve the two objectives: improve genetics, education and organizations for private livestock producers; introduce successful agribusiness practices.
The Agriculture Technology Program for Turkmenistan (AgTech) takes a comprehensive approach to agricultural development in Turkmenistan by implementing high-impact activities in the livestock and greenhouse horticulture sectors to achieve the two objectives: improve genetics, education and organizations for private livestock producers; introduce successful agribusiness practices.
The Agriculture Technology Program for Turkmenistan (AgTech) takes a comprehensive approach to agricultural development in Turkmenistan by implementing high-impact activities in the livestock and greenhouse horticulture sectors to achieve the two objectives: improve genetics, education and organizations for private livestock producers; introduce successful agribusiness practices.
This paper is a case study of capacity strengthening activities carried out at the Agricultural Research Corporation in Sudan between July 2008 and March 2011. These activities were undertaken through the project ‘Strengthening Capacity for Agricultural Research and Development (SCARDA)’ which was implemented in the East and Central Africa region by the Association for Strengthening Agricultural Research in East and Central Africa.
This document aims to guide a small team tasked to assess the capacity for agricultural innovation in a multi-stakeholder context. The context might be an actual or potential “innovation platform” such as the three commodity-based platforms selected for the piloting capacity assessment methods, or it might be a project or programme that is more generally focused on strengthening of innovation within a subsector of agriculture within a country, such as livestock or horticulture.
Les enjeux liés au changement climatique et à la sécurité alimentaire confortent la nécessité de mettre au point des démarches de conception/évaluation de systèmes durables, qu’il s’agisse d’améliorer les situations existantes ou d’imaginer de nouvelles voies de développement. En régions chaudes, l’élevage remplit aussi des fonctions non productives et doit s’adapter aux aléas et incertitudes.
Dans cet article, à travers l’étude du cas de la filière forêt-bois-papier aquitaine, nous soulignons la nécessité d’intégrer une plus forte prise en compte des ressources naturelles dans les analyses en termes de systèmes d’innovation. Prenant appui sur la principale spécificité de cette filière, à savoir sa forte dépendance à la ressource ligneuse, le présent article est focalisé sur la manière dont cette dépendance configure le système.
il est possible et nécessaire aujourd’hui d’opérer un bilan du développement durable (DD) en s’appuyant sur les formes concrètes qu’il a prises depuis plus de vingt ans. Malgré les discussions, interrogations ou critiques que le terme a suscitées, il est sans conteste, depuis la conférence de Rio en 1992, l’horizon normatif des projets, programmes et politiques d’aide publique au développement qui opèrent concrètement sur les territoires, et il accompagne maintenant les stratégies d’entreprise.
L’enjeu environnemental pour les territoires croît de façon exponentielle depuis une décennie. Les décideurs politiques s’emparent de cette mouvance et favorisent des actions qui entrent dans le projet dit durable. La Région Île-de-France choisit en partie de baser son développement territorial sur l’idéologie de l’« urban greening ». Elle met en œuvre des actions pour devenir la première Écorégion d’Europe d’ici une demi-douzaine d’années et, pour ce, favorise les mesures agro-environnementales. Un des piliers de ce développement est l’agriculture biologique.
En Afrique, le droit sur le sol doit d’abord permettre l’accès à celui-ci. Pour l’agriculteur familial, ce droit est généralement celui des coutumes, que des procédures innovantes permettent de sécuriser. Les investisseurs préfèrent les titres de propriété ou les attributions du sol par l’État. Le droit foncier peut aussi être mobilisé pour garantir des crédits. Mais des contraintes limitent ce droit, résultant de l’existence de ressources naturelles renouvelables (ou non) dont l’exploitation concurrence celle de l’agriculture.