Global climate change and food security are complex and closely intertwined challenges. A key requirement for dealing with them successfully is that agriculture becomes more eco-efficient. As researchers work toward this goal, they must always ask, “Efficiency for whom?” Finding answers to this question requires that research be conducted from a systems perspective in a broadly participatory manner involving complex collaborative arrangements.
Since 2004, the Institutional Knowledge Sharing (IKS) Project, managed by CIAT, has focused on scaling up project activities in CGIAR Centers and Programs, with the aim of mainstreaming knowledge sharing (KS) principles and tools. The overall objective is to contribute to organizational development, and improve CGIAR effectiveness by promoting collaborative learning and innovation, and supporting effective use of KS approaches and tools throughout the CGIAR.
The IPMS project proposes to ‘contribute to improved agricultural productivity and production through market-oriented agricultural development, as a means for achieving improved and sustainable livelihoods for the rural population’ in Ethiopia. To accomplish this goal the project supports development and (action) research on innovative technologies, processes and institutional arrangements in three focus areas i.e.
This guide is developed by synthesizing successful field experiences within a project known as Improving Productivity & Market Success of Ethiopian Farmers Project or IPMS Project. The main purpose of the IPMS project was to test methods, approaches, and processes that can help transform Ethiopian smallholder agriculture from subsistence to a market‐oriented agriculture.
La stratégie de Lisbonne met en avant la nécessité de stimuler la croissance et de créer des emplois dans les zones rurales, elle vise à renouveler les bases de la compétitivité européenne, à augmenter son potentiel de croissance ainsi que sa productivité et à renforcer la cohésion sociale en misant principalement sur la connaissance, l’innovation et la valorisation du capital humain.
Dans plusieurs domaines des sciences sociales et humaines (éducation, communication, travail social, économie sociale, médecine communautaire, technologie rurale, et pratiques politiques et syndicales, entre autres), et même dans les sciences dites « dures », la recherche appartient de moins en moins à un monde à part de spécialistes éloignés du terrain. Ce type de recherches – recherche participative, recherche-action, recherche collaborative, recherche-formation – se caractérise par un processus de production des connaissances effectué de concert avec les acteurs de terrain.
Les démarches participatives suscitent un intérêt grandissant en tant que pratiques de recherche en agriculture. Dans l'objectif de faciliter les échanges de pratiques entre chercheurs, cet article propose une grille d'analyse qui appréhende le processus de participation de façon globale et dynamique.
Le système d’innovation est un concept clé pour l’analyse des changements socio-techniques qui renvoie à une structure et à des fonctions qui contribuent à développer et à diffuser l’innovation. Cet article propose une approche originale d’analyse d’un système d’innovation au travers des processus de diffusion spatiale d’un produit agricole : l’anacarde (noix de cajou). Les formes et les vitesses de propagation des vergers d’anacardiers sont analysées et mises au regard de la structure et des fonctions du système d’innovation.
L’action locale est aujourd’hui confrontée au problème de changements climatiques, tant en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre que de gestion des impacts potentiels. La question particulière de l’adaptation aux changements climatiques émerge ainsi progressivement sur la scène locale et semble se généraliser depuis les évolutions législatives (Loi « Grenelle II ») qui rendent obligatoire la réalisation de plans climat-énergie territoriaux pour les collectivités de grande taille et des schémas régionaux climat-air-énergie.
Ce rapport final dresse le bilan des activités scientifiques engagées dans le cadre du projet Adap’Terr « L’adaptation au changement climatique : les défis d’une approche intégrée pour les territoires ? ». Ce volume de synthèse, présentant les principaux résultats, s’organise en trois parties. Une première partie précise certaines questions que posent pour l’aménagement et l’urbanisme l’action climatique locale, afin de développer un cadre conceptuel en mesure d’analyser les initiatives locales face au « problème climat ».