This flyer described the collaboration between FAO and Agrinatura and in particular two main areas of activities:
1) Joint implementation of the EU-funded Capacity Development for Agricultural Innovation Systems (CDAIS) project from 2015 to 2019, in eight countries: Angola, Bangladesh, Burkina Faso, Ethiopia, Guatemala, Honduras, Lao People’s Democratic Republic, Rwanda;
The core idea of the article below is the existence of complicated array of deterrent factors that influences innovation activity of agriculture organizations, and subjective, psychological factors among those factors as well. The main goal of this work is to assess the top management and proprietors’ of AIC enterprises readiness to implement the innovations. As a research’ working hypothesis used the decisive role of human factor in answering the question whether to innovate or not.
Food insecurity and the weak position of smallholders in food value chains are key challenges in many low- and middle-income countries in sub-Saharan Africa. In order to increase food security and make agricultural value chains more inclusive, donors, governments and researchers increasingly stimulate partnerships between multiple actors, in which knowledge exchange, joint learning and knowledge co-creation play a central role in reducing the time lag between research findings and their translation into practical outcomes.
The building of sustainable innovation capabilities in Africa requires an innovation system capable of producing, disseminating and using new knowledge. This paper assesses the process of constructing the National Innovation System (NIS) in Rwanda. It is posited that consensus on and acceptance of the concept of NIS among stakeholders is crucial in the early process of constructing an efficient and dynamic innovation system. Primary empirical data are presented for the case of Rwanda and analyzed in a regional context.
This paper calls for a better integration of place-based, evidence-based and inclusive dimensions in the implementation of the Science, Technology and Innovation (STI) plans and industrial policies in sub-Saharan Africa. To this end, the analysis contrasts with and takes inspiration from the recent and ongoing international experiences in the elaboration of Innovation Strategies for Smart Specialisation (S3).
Cet article tente de répondre à la question suivante : au-delà des caractéristiques de l’exploitation agricole, quels sont les autres facteurs qui influencent les différents types d’innovation dans les filières stratégiques de l’agriculture algérienne ? En effet, la politique algérienne actuelle ambitionne de moderniser les filières stratégiques pour accroître la production, substituer la production nationale à l’importation et augmenter le volume des exportations.
Le Mali a quadruplé sa population entre 1960 et 2020. Cette croissance démographique implique des besoins d’accès à la sécurité alimentaire et nutritionnelle, à la santé, à l’éducation et à l’emploi pour les primo arrivants. C’est le secteur agricole qui est sollicité par les politiques publiques pour répondre à cette demande. Quelle est la tendance démographique dans la zone cotonnière du Mali ? Quelles ont été les réponses locales face aux implications de cette croissance démographique en termes d’accès à la santé et à l’éducation ?
Les travaux portant sur l’inclusion des petits exploitants dans l’agriculture contractuelle dans le monde dressent des constats contradictoires. En Algérie, l’État a engagé en 2009 un programme d’appui à l’intégration des filières lait et tomate industrielle, en accordant des primes aux entreprises et aux agriculteurs qui s’engagent ensemble dans des contrats de commercialisation.
L’An deux mille vingt du 15 au 16 décembre 2020 s’est tenu à Bobo Dioulasso au Centre Agricole Polyvalent de Matourkou un séminaire académique sur le thème : Rôles des services de vulgarisation agro-sylvo-pastorales dans la mise à échelle des Pratiques climatointelligentes. Ce séminaire est Co-organisé par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), l’Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles (INERA), World Agroforestry (ICRAF) et le Centre Agricole Polyvalent de Matourkou (CAP). La rencontre s’est tenue dans l’amphithéâtre 540 du CAP Matourkou.
L’économie tunisienne a subi de plein fouet les effets de la crise sanitaire Covid-19 et des mesures indispensables pour la juguler prises par les pouvoirs publics comme la fermeture des frontières et le confinement de la population. L’agriculture a dû faire face aux mêmes difficultés ; toutefois, la courte durée du confinement total et la décision des autorités d’exclure les activités agricoles de certaines restrictions ont réduit les effets de la crise sanitaire sur la disponibilité des produits alimentaires.