Over the last 10 years much has been written about the role of the private sector as part of a more widely-conceived notion of agricultural sector capacity for innovation and development. This paper discusses the emergence of a new class of private enterprise in East Africa that would seem to have an important role in efforts to tackle poverty reduction and food security. These organisations appear to occupy a niche that sits between mainstream for-profit enterprises and the developmental activities of government programmes, NGOs and development projects.
While education access has improved globally, gains are uneven, and development impacts driven by increases in education continue to be left on the table, especially in rural areas. Demand-driven extension and advisory services (EAS) – as a key institution educating rural people while providing agricultural advice and supplying inputs – have a critical role to play in bridging the education gap. This can help ensure that millions of young people successfully capitalise on opportunities in agriculture markets, as surveys in Rwanda and Uganda demonstrate.
CABI’s Plantwise programme runs local plant clinics in 24 countries across Africa, Asia and Latin America where trained ‘plant doctors’ provide on-the-spot diagnosis and advice for farmers who bring samples to the clinics. A database that records each consultation and shares knowledge across clinics and countries continually builds the ability of the programme to respond to farmers’ needs. The programme embodies key principles of an innovation systems approach.
This paper examines the role of postsecondary agricultural education and training (AET) in sub-Saharan Africa in the context of the region’s agricultural innovation systems. Specifically, the paper looks at how AET in sub-Saharan Africa can contribute to agricultural development by strengthening innovative capacity, or the ability of individuals and organisations to introduce new products and processes that are socially or economically relevant, particularly with respect to smallholder farmers who represent the largest group of agricultural producers in the region.
Le développement de l'agriculture organique au Brésil prend des formes multiples. Au travers de leur expérience de l'AO, dans une communauté proche de trois métropoles, de petits maraîchers d'Ibiúna (São Paulo) créent des entités collectives et expérimentent de nouvelles pratiques sociales.
Lors de l'intervention d'une plate-forme d'innovation (groupe d'acteurs concernés) dans un domaine donné, nous avons tendance à attribuer les causes du changement aux actions de cette plate-forme. Cet article utilise le cas d'une plate-forme d'innovation dans le secteur du karité au Mali pour analyser comment les plates-formes d'innovation produisent les résultats escomptés.
La façon donc les organismes de recherche et d'appui aux agriculteurs participent aux processus de développement de l'agriculture et du monde rural fait l'objet de débats. Ceux-ci portent à la fois sur la compréhension des besoins réels des agriculteurs et sur les formes de coordination entre les différents acteurs de la production de connaissances traduisibles en actions. Nous proposons d'illustrer cette problématique à partir d'un programme de coopération franco-argentin Innovaciones, Desarrollo, Exploitationes Agropecuarias, Sociedad local (IDEAS), engagé en Argentine en 1995-1996.
Ce texte présente les premiers résultats d’une étude sur la contribution de groupes d’agriculteurs familiaux aux processus d’innovation dans trois municipes de la Paraíba (Brésil). L’objectif consistait à identifier le rôle des producteurs et de leurs organisations en matière d’introduction et d’adaptation de techniques agricoles.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
Confrontés aux évolutions des enjeux et modèles de développement touchant les secteurs de l’agriculture et de l’alimentation, les organismes de recherche interrogent les méthodes d’évaluation des impacts liées aux activités de recherche. En effet les cadres méthodologiques conventionnels utilisés depuis les années 1950 ne répondent plus aux attentes sociétales et aux réalités de l’activité de recherche dans ce domaine.