Les capteurs, allant du simple thermomètre jusqu’aux drones, se sont démocratisés dans les exploitations agricoles. Ils permettent désormais de collecter une multitude d’informations sur l’ensemble de l’exploitation et de transmettre en temps réel des données sur l’état et les performances des machines, des cultures et des animaux.
L’An deux mille vingt du 15 au 16 décembre 2020 s’est tenu à Bobo Dioulasso au Centre Agricole Polyvalent de Matourkou un séminaire académique sur le thème : Rôles des services de vulgarisation agro-sylvo-pastorales dans la mise à échelle des Pratiques climatointelligentes. Ce séminaire est Co-organisé par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), l’Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles (INERA), World Agroforestry (ICRAF) et le Centre Agricole Polyvalent de Matourkou (CAP). La rencontre s’est tenue dans l’amphithéâtre 540 du CAP Matourkou.
Ce manuel illustre le changement climatique et ses impacts sur l’agriculture au Sénégal.
USAID/CINSERE (Services d’information climatiques pour améliorer la résilience et la productivité au Sénégal) est un projet de 4 ans qui vise à renforcer les capacités nationales pour la production, l’accès et la diffusion efficiente d’informations météorologiques et climatiques (IMC) et à développer des stratégies pour une mise à l’échelle durable de l’utilisation des services d’information météorologiques et climatiques (SIC) sur toute l’étendue du territoire sénégalais.
Du 24 au 26 novembre 2020, s’est tenu à Ségou au Mali, l’atelier des acteurs régionaux pour le développement du profil de risque climatique de la région de Ségou. L’atelier a été organisé dans le cadre du projet de « développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance en Afrique de l’Ouest », financé par l’Union européenne (UE) et mis en œuvre par le CCAFS au Mali, Niger et Sénégal en partenariat avec les instituts de recherches agricoles nationaux (IER, INRAN, ISRA).
L’utilisation des services hydrométéorologiques et climatiques (SHMCs) constitue une opportunité pour le Mali dans ses efforts visant à réduire la pauvreté, renforcer la résilience et s’adapter au changement climatique. En effet, les SHMCs permettent de protéger les populations contre les risques climatiques à court terme ou à évolution rapide (inondations et tempêtes) et à long terme ou à évolution lente (p. ex. sécheresses et changement climatique durable).
Le présent rapport étudie les possibilités que les nouvelles avancées technologiques liées à l’automatisation et à l’agriculture de précision (la robotique, par exemple) peuvent offrir à l’agriculture dans les pays en développement. Ces technologies visent principalement à aider les agriculteurs appelés à faire face au coût de la main-d’oeuvre nécessaire pour les opérations de récolte, ainsi qu’à répondre au problème de la raréfaction de la main-d’oeuvre disponible pour l’ensemble des travaux agricoles.
L’étude propose une série de mesures qui s’avèrent nécessaires et urgentes pour sauver, consolider et revoir le secteur agricole dans cette situation entourant le coronavirus en Tunisie, et ce, afin de pouvoir penser l’après-Covid-19.
En Tunisie, l’agriculture fait sa révolution numérique: Capteurs installés dans les conduits d’irrigation et dans le sol, colliers émetteurs au cou des vaches… Le monde agricole tunisien est en pleine mutation.
Au Burkina Faso, le faible niveau de développement social et économique et sa population à grande majorité rurale rendent le pays très dépendant des ressources naturelles. Pour se nourrir, se loger et s’épanouir, les ressources naturelles sont directement prélevées et les terres sont de plus en plus mises en culture sous la pression démographique au détriment des espaces naturels. En effet, les ressources naturelles constituent le support de la plupart des activités de production.