Este documento trata del nacimiento y actuación de la REAF (Reunión Especializada de Agricultura Familiar) como órgano asesor de los órganos ejecutivos del Mercosur. El documento trata también del reconocimiento de la agricultura familiar como una categoría que requiere de políticas diferenciadas, instalado en el lenguaje a nivel del bloque y de los países que lo integran.
Este volante muestra diferentes iniciativas para la sostenibilidad de la agricultura familiar y la seguridad alimentaria.
Este documento presenta un análisis del contexto macroeconómico y sectorial y de las tendencias y perspectivas para los cultivos, la ganadería, la pesca, los bosques, el bienestar rural y las políticas públicas e institucionalidad del sector. A partir del análisis de las tendencias y las perspectivas, cada capítulo ofrece a consideración de los tomadores de decisiones una serie de recomendaciones que se considera aportarían a afrontar los retos de la dinámica económica mundial y a aprovechar las oportunidades que ofrece.
This document examines the macroeconomic and sectoral context and the trends and outlook for crops, livestock, fisheries, forests and rural well-being, as well as the public policies and institutional framework for these sectors. Based on an analysis of the trends and prospects, each chapter offers a series of recommendations for the consideration of decision-makers, in an effort to help address the challenges posed by the global economic dynamics and to take advantage of opportunities.
Este volante muestra las acciones para mejorar la capacidad de los países para mitigar y adaptarse al cambio climático y utilizar mejor los recursos naturales.
Impératif de développement et impératif de lutte contre le changement climatique sont plus que jamais liés. Le changement climatique accentue les inégalités en touchant de plein fouet les populations les plus pauvres. En accentuant la vulnérabilité de ces pays, il compromet chaque jour un peu plus leurs chances de se développer. C’est pourquoi, depuis 2007, Coordination SUD1 et le RAC-France ont décidé d’unir leurs forces pour peser davantage sur la position de la France dans le cadre des négociations internationales sur le climat.
Cette publication offre de nombreux exemples concrets détaillant différentes manières de réengager les jeunes dans le secteur agricole. Elle montre à quel point des programmes éducationnels sur mesure peuvent offrir aux jeunes les compétences et la perspicacité nécessaires pour se lancer en agriculture et adopter des méthodes de production respectueuses de l’environnement. Beaucoup des approches ou des initiatives décrites dans cette publication sont issues des jeunes eux-mêmes.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
Lancée par le président brésilien Lula au début des années 2000, Fome Zero est une stratégie globale de lutte contre la faim, intégrant un ensemble de programmes publics d’accès à l’alimentation, de soutien à l’agriculture familiale et de développement d’activités génératrices de revenus, le tout dans un cadre impliquant fortement la société civile. Grâce à Fome Zero, le Brésil est souvent montré comme le modèle à suivre en matière de politique publique de lutte contre la faim. Mais quels sont les aléas du copier-coller de ce modèle ?
Au moins 2,5 millions d’hectares de terres ont été achetés en Afrique par des états étrangers, des multinationales ou des fonds de pension, soit l’équivalent du territoire de la Belgique. C’est ce que révèle un rapport de la FAO – l’Agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation. La FAO s’inquiète des violations des droits des paysans que ces accaparements de terres peuvent entraîner, et s’interroge sur la participation des populations locales aux bénéfices générés. Mais elle y voit avant tout une perspective de développement. Au profit de qui ?