De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
Le présent rapport concerne l’évaluation finale du projet «Intégration de la résilience climatique dans la production agricole et pastorale pour la sécurité alimentaire dans les zones rurales vulnérables à travers l’approche des champs-écoles des producteurs» (GCP/NER/043/LDF) financé par le Fonds pour l’environnement mondial (FEM) et exécuté conjointement par l’Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Gouvernement du Niger de 2015 à 2021.
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte lié à son climat, ses institutions, ses sources de revenus, son économie et son environnement. La pauvreté y est omniprésente et le pays se classe au bas de l’échelle sur la quasi-totalité des indicateurs de développement humain. L’agriculture est le secteur le plus important de l’économie du Niger. Elle représente plus de 40 pour cent du le produit intérieur brut national et constitue la principale source de revenus pour plus de 80 pour cent de la population.
La agricultura familiar de los países del Sur constituye uno de los sectores más directamente afectados y amenazados por los cambios climáticos. La cuestión de la adaptación, y en particular, la de la adaptación de la agricultura, ha ido ganando terreno en el transcurso de la última década en las agendas políticas nacionales e internacionales.
Este material tiene como propósito brindar herramientas y recursos para promover y fortalecer los procesos asociativos en el territorio, y está destinado a los equipos técnicos del INTA y también de todas aquellas organizaciones e instituciones que trabajan en la promoción del desarrollo de los agricultores familiares. Ofrece pautas y orientaciones para los grupos asociativos que recién se están conformando y también para aquellos que ya tienen un camino recorrido.
El informe está estructurado en tres partes:
• la primera parte trata de la adaptación de la agricultura familiar a los cambios climáticos y de las condiciones de la adaptación; • la segunda parte aborda el lugar que ocupa la adaptación de la agricultura familiar en las políticas públicas;
• la tercera parte propone algunas recomendaciones para una mejor integración de este tema en las políticas públicas.
Una presentación de los tres estudios de caso-países figura también en anexo.
This report refers to the workshop which was held on October 21-25, 2013 at ILRI Campus in Nairobi, Kenya. The workshop involved a variety of sessions which made use of presentations, card exercises, group work and discussions to facilitate the engagement of the participants in sharing, learning, discussing and planning around CapDev in CGIAR. This report provides an overview of the workshop sessions, focusing mainly on the key discussion topics, results and next steps.
Building on this potential, Katalyst’s Women’s Economic Empowement (WEE) sector designed an intervention to provide training in modern prawn cultivation techniques and input and create linkages between feed and aqua-chemical companies with women prawn farmers of the Jessore-Khulna Bagerhat Satkhira Narail belt. Through this intervention, 22,170 women farmers have improved access to quality inputs and relevant know-how.
The goal of both of this report is to draw lessons from Katalyst’s experience which could be used more broadly. As the private sector assumes a more significant role in the architecture of development it is important to understand more clearly what benefits companies might get from greater engagement; and also what actions work best to facilitate inclusive market approaches.
The world’s population is likely to reach 9 billion by the middle of this century. The Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO) believes that 60 per cent more food will be needed by 2050 to sustain all these people. Where possible, this food should be produced where it is needed – in developing countries.