Since 1981, IFAD has financed 19 rural development programmes and projects in Rwanda, for a total amount of US$358.04 million, and directly benefiting about 1,540,157 rural households. The IFAD country programme has contributed significantly to improving incomes and food security in rural areas, particularly through watershed development, increased production in marshland and hillsides, development of livestock and export crops, and support for cooperatives and rural enterprises. IFAD also supports the government in mainstreaming climate resilience.
Since 1979, IFAD has invested US$455.09 million in 20 programmes and projects in Kenya (at a total cost of US$980.31 million), in support of the Government’s efforts to reduce rural poverty. In Kenya, IFAD loans provide support to smallholders and value chain actors (such as agrodealers, private extension services, small traders and processors) in the dairy sector, aquaculture, livestock and cereal value chains. In addition, they strengthen the resilience of the natural resource base and improve access to rural financial services.
Le Programme d’appui au développement des filières agricoles (PADFA) a pour objectif d’améliorer les activités après-récolte (conditionnement, stockage, transformation et commercialisation) dans les filières du riz, des légumes et de la mangue en Côte d'Ivoire. Cette brochure réunit les témoignages de petits producteurs ayant participé au programme et dont les cultyures étaient affectés par les effets des changements climatiques et les insectes.
Ce document présente la Contribution du Service d’Appui aux Initiatives Locales de Développement (SAILD-ONG) à la sécurité alimentaire et à la diversification nutritionnelle des familles ciblées dans 21 villages des régions de l’Extrême-Nord et de l’Est du Cameroun.
Ce guide pratique s'adresse aux députés et aux conseillers parlementaires, qui sont considérés comme des «agents de changement». Il donne une vue d’ensemble exhaustive et systématique du rôle que les parlementaires peuvent jouer dans la création d’«environnements favorables» fiables, cohérents et transparents dans les différents domaines liés à l'investissement dans les systèmes agricoles et alimentaires.
La notion de service écosystémique est devenue incontournable dans les discours institutionnels et académiques en dépit des controverses et des critiques. Initialement portée par les acteurs de la conservation de la biodiversité, elle connaît depuis plusieurs années un déploiement dans les milieux agricoles. Si l’idée selon laquelle les fonctionnalités des écosystèmes sont déterminantes dans la production agricole n’est pas nouvelle, cette notion permet de mettre en évidence les nouveaux enjeux liés aux changements climatiques et aux besoins alimentaires croissants.
La crise économique et sanitaire due à la Covid-19 interpelle les trajectoires de reconfiguration des systèmes alimentaires en République du Congo. Elle questionne la capacité des mesures de régulation prises par les pouvoirs publics et des stratégies d’adaptation des acteurs à induire des inflexions dans la gouvernance structurelle du système alimentaire du pays. L’article analyse les stratégies d’adaptation à la crise en mobilisant des données secondaires et des expériences d’accompagnement de politiques publiques agricoles et alimentaires conduites par les auteurs.
While vaccination campaigns against COVID-19 were launched worldwide, a drama has been unfolding in the Moroccan countryside. It has been marked, over the last couple of decades, by rapid agrarian transformation, manifestations of which have included expanding irrigation frontiers and the increasing growth of high-value crops. These dynamics rely strongly on female agricultural wageworkers. Although they earn low wages, their income is crucial and is used to care for loved ones by paying for school fees, rent, electricity, and medicines.
Le secteur agricole constitue une activité importante au Maroc, représentant 14 % du produit national brut et employant 40 % de la population active. Avec l’émergence de la pandémie de la Covid-19, il a été ébranlé par des incertitudes économiques et par la distanciation physique qui a accentué les contraintes du travail. Toutefois, l’agriculture s’est imposée comme une activité cruciale, puisqu’elle a continué à assurer l’approvisionnement alimentaire à des prix abordables.
Accurate and operational indicators of the start of growing season (SOS) are critical for crop modeling, famine early warning, and agricultural management in the developing world. Erroneous SOS estimates–late, or early, relative to actual planting dates–can lead to inaccurate crop production and food-availability forecasts. Adapting rainfed agriculture to climate change requires improved harmonization of planting with the onset of rains, and the rising ubiquity of mobile phones in east Africa enables real-time monitoring of this important agricultural decision.