This report reviews the evidence of impact of capacity strengthening on agricultural research for development (AR4D) in developing countries. The study was commissioned by DFID as part of the documentation process of the project Strengthening Capacity for Agricultural Research for Development in Africa (SCARDA).
The private sector dominates biotechnology research in industrialized countries, but there are major market failures in developing countries in accessing the new tools and technologies. The public sector, national and international, will have to play a major role in filling this gap. This paper provides an overview of options that countries of different sizes and capacities can employ to gain access to the research tools and technologies that they need to address issues of relevance to poor producers and consumers.
Esta tesis expone un análisis de la cadena de valor del cacao, en su contexto internacional - nacional, y de la cadena de valor de una organización de segundo grado, como UNOCACE, en un marco de tiempo de diez años (2002 – 2012). Los elementos de estudio se basaron en la metodología de acción colectiva de Julio Berdegué y la plataforma RURALTER. Con el fin de exponer el rol determinante de la acción colectiva en las cadenas productivas.
This presentation for the Third Global Conference on Agricultural Research for Development (GCARD3,Johannesburg, South Africa, 5-8 April 2016) illustrates the topic of competitiveness in Africa smallholders system, focusing on the Integrated Agricultural Research for Development (IAR4D) and Agricultural Innovation Systems (AIS) concepts and on the role of the innovation platforms.
This paper outlines key areas of intervention that are identified as the core of FAO's strategy on strengthening Agricultural Innovation Systems (AIS) across multiple areas of work (e.g. research and extension, agroecology, biotechnology, green jobs, resourcing etc.) for achieving sustainable rural development.
Dans le besoin urgent de lutter contre le changement climatique, une priorité essentielle est de renforcer la capacité de ces groupes et communautés les plus vulnérables, et déjà fortement affectés, à améliorer leur capacité à adapter leurs systèmes de subsistance.
Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
Les démarches de développement local sont assez standardisées : à partir d'un diagnostic territorial, on met en oeuvre un appui technique et financier aux organisations locales, pour la réalisation de projets dont elles assureront la gestion. Mais les organisations locales sont de nature variée, toutes n'ont pas forcément envie de gérer les équipements qu'elles demandent ; ceux-ci sont plus ou moins complexes à gérer et certains relèvent des prérogatives communales. Enfin, le diagnostic initial dépend de la logique d'ensemble de l'action.
Cette note d'information a été produite lors de la réunion des ministres de l'Agriculture de l'OCDE en 2016. Cette note se concentre sur le rôle des systèmes d'innovation agricole (SIA) par rapport à la performance de performances économiques, environnementales et sociales de l'agriculture.