Innovation is often presented as one of the main catalysts for more sustainable and inclusive development. In the agricultural and food sectors, innovation is characterized not only by specificities arising from its relationship to nature, but also from the wide diversity of its stakeholders, ranging from farmers to consumers, and including intermediaries such as the research community and advisory services. Innovation emerges from interactions between these actors, who mobilize resources and produce knowledge in collaborative mechanisms in orderto generate changes.
Esta revisión de la literatura muestra la diversidad de puntos de vista en la caracterización del AIS (visión estructural, visión funcional, visión ba-sada en procesos, visión basada en capacidades). Estas diferentes visiones del AIS se basan en diferentes hipótesis y abarcan diferentes métodos de análisis del AIS. Los académicos consideran que estos puntos de vista son complementarios y útiles para una evaluación operativa del AIS. Debido a esta multiplicidad de puntos de vista analíticos, se ha desarrollado un gran número de métodos.
This chapter reports on the different functions fulfilled by existing mechanisms for supporting collective innovation in the agricultural and agrifood sectors in the countries of the Global South in order to identify the potential contributions the research community can make to strengthen them. The authors show that a variety of mechanisms are needed to create enabling conditions for innovation and to provide a step-by-step support to innovation communities, according to their capacities and learning needs.
This article examines how research on the agriculture and agrifood systems mobilizes the concept of Innovation System (IS). A literature review on the IS provides an analytical framework for determining its theoretical frame of reference, its area of application and its uses.
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
Au Brésil, la diffusion du modèle de gestion intégrée des ressources en eau varie fortement selon l’environnement socio-territorial. Le Sud présente un dynamisme certain s’appuyant sur des initiatives locales. Les acteurs locaux sont organisés en comité de bassin et développent des actions pour améliorer la gestion des ressources. Dans le Nordeste, la marche vers ces nouveaux modes de gestion paraît difficile tant les inerties sociales et culturelles freinent un partage réel du pouvoir, des ressources et des coûts.