The slow adoption of new agricultural technologies is an important factor in explaining persistent productivity deficits among smallholders in Sub-Saharan Africa (SSA). Farmers delay in particular the uptake of technology packages. Since knowledge constraints are an important barrier to adoption, effective extension approaches are key. In recent decades, extension systems in many SSA countries have moved towards decentralized “bottom-up” models involving farmers as active stakeholders.
The concept of technology adoption (along with its companions, diffusion and scaling) is commonly used to design development interventions, to frame impact evaluations and to inform decision-making about new investments in development-oriented agricultural research. However, adoption simplifies and mischaracterises what happens during processes of technological change. In all but the very simplest cases, it is likely to be inadequate to capture the complex reconfiguration of social and technical components of a technological practice or system.
Results in Ethiopia show positive outcomes from CDAIS activities, proving the benefits of integrating functional capacity strengthening across individual, partnership, organisational and national levels. Common to all these levels are
Breeding programs for local breeds kept by small farmers in developing countries are a major challenge. Animal recording of pedigree and performance under conditions of subsistence livestock farming is remain difficult or next to impossible. This means that standard genetic evaluations, as well as selection and planning of mating based on estimates of the animals' genotypes, cannot be done at any level in the population of the target breed or genetic group.
The Policy Compendium for Rural Advisory Services (RAS) is a tool that contributes to filling the gap between the rural advisory services (RAS) policy environment and RAS efforts in the field. It helps direct decisions and facilitate successful policy processes and outcomes in extension and advisory services by making knowledge accessible, fostering synergies and promoting policy processes to improve RAS and rural development. It has two purposes.
La Tunisie cherche à réorienter ses politiques d'Aménagement et de conservation des eaux et des sols (ACES) afin qu'elles gagnent en efficacité, en s'appuyant sur des démarches participatives innovantes. Cette orientation s'inscrit dans des contextes ruraux souvent peu documentés où la dimension environnementale nécessite d'être objectivée. De plus, il existe peu d'espaces de dialogue et de concertation entre les principales catégories d'acteurs des espaces ruraux concernés.
Le renforcement des capacités à innover apparaît comme un nouveau moyen pour assurer un développement durable dans les pays du Sud. Dans le secteur de l'agriculture, l'innovation est essentiellement collective, ce qui appelle les chercheurs à sortir de leur rôle de producteurs de connaissances pour s'engager auprès des acteurs en situation d'innovation. Si une diversité de pratiques de recherche engagée sont apparues, il n'existe cependant pas aujourd'hui une vision claire des différentes façons dont les chercheurs contribuent à l'innovation.
L'innovation est souvent présentée comme l'un des principaux leviers pour promouvoir un développement plus durable et plus inclusif. Dans les domaines de l'agriculture et de l'alimentation, l'innovation est marquée par des spécificités liées à sa relation à la nature, mais aussi à la grande diversité d'acteurs concernés, depuis les agriculteurs jusqu'aux consommateurs, en passant par les services de recherche et de développement.
CDAIS is a global partnership that aims to strengthen the capacity of countries and key stakeholders to innovate in the context of complex agricultural systems, to improve rural livelihoods. The goal of the Capacity Development for Agricultural Innovation Systems (CDAIS) project is to promote innovation that meets the needs of small farmers, small and medium-sized agribusiness, and consumers.
La R&D agricole considère aujourd’hui les innovations de terrain comme des sources d’idées et de références pour améliorer durablement les modes de production. La « traque de systèmes innovants » et l’évaluation de ces systèmes pour définir les plus performants du point de vue économique et agrienvironnemental nécessitent cependant un travail de mise au point méthodologique, auquel cet article vise à contribuer.