So far, numerous studies have exhibited Silicon Valley and other thriving innovation ecosystems by distinguishing special characteristics in which their survival rely on sustaining activities that convert them to specific regions. These regions provide ready-made grounds for networking to be innovative. Meantime, it is struggling for innovations to be transformed into measurable economic results if players encounter a weak network of collaborative relationships in the ecosystem.
The transition to a market for agricultural research and knowledge-intensive services presents various challenges for actors in the agricultural knowledge infrastructure, on both the demand side (end users of innovations such as farmers, and the government) and the supply side (providers of research and knowledge-intensive services). New organizational arrangements try to bring together supply and demand in the agricultural knowledge infrastructure. This thesis is about such new organizational arrangements
The privatization of agricultural research and extension establishments worldwide has led to the development of a market for services designed to support agricultural innovation. However, due to market and systemic failures, both supply side and demand side parties in this market have experienced constraints in effecting transactions and establishing the necessary relationships to engage in demand-driven innovation processes.
Agricultural machinery manufacturers historically referred to the intermediate players for selling, maintenance, customer service and/or training of equipment appear to interact with farmers and end-users. Intermediate players have therefore faced the burden to master the technology, in constant evolution, and the associated training needs at the interface between sophisticated equipment and the end-user and its sociological characteristics (age, education, background, etc.).
L’alimentation en eau et la protection des milieux aquatiques sont confrontées aux pollutions diffuses d’origine agricole dans le nord-ouest de la France. Les politiques de gestion des ressources en eau s’appuient à présent sur la participation des agriculteurs afin de concevoir des solutions adaptées aux territoires. En effet, si la réglementation est nécessaire, elle n’est pas suffisante pour atteindre une qualité satisfaisante sur de nombreux bassins versants fortement pollués par les nitrates, le phosphore ou les produits phytosanitaires.
La diminution du nombre de prairies, que l’on observe à l’échelle mondiale depuis plusieurs décennies, s’est accompagnée de l’évolution de leur mode de gestion dans un contexte d’intensification de l’usage des terres. Face aux enjeux que ces changements impliquent, tant sur le plan environnemental qu’économique, il est nécessaire d’identifier et de caractériser les dynamiques spatiotemporelles des prairies, afin notamment d’évaluer les impacts du changement climatique sur ces dernières et leur capacité à s’y adapter.
La stratégie de Lisbonne met en avant la nécessité de stimuler la croissance et de créer des emplois dans les zones rurales, elle vise à renouveler les bases de la compétitivité européenne, à augmenter son potentiel de croissance ainsi que sa productivité et à renforcer la cohésion sociale en misant principalement sur la connaissance, l’innovation et la valorisation du capital humain.
L’agriculture familiale est le modèle d’exploitation le plus répandu en Europe. À ce titre, elle assure depuis des siècles la prospérité du secteur. L’ambitieux cadre stratégique mis en place par l’Union européenne a été conçu pour tenir compte des différents modèles d’agriculture qui coexistent sur son territoire, en ce compris les divers types d’agriculture familiale.
Cet article tente de relever ce qui, en économie agricole ou agroalimentaire et en statistique agricole, contribue à définir « l’agriculture de firme » parmi l’ensemble des exploitations agricoles françaises. Même si l’exploitation familiale tend à éclater, elle reste la norme du paysage rural français. Ce qui nous intéresse ici renvoie à la « théorie de la firme », lieu de répartition stratégique entre le travail et le capital.
Innovation is high on the agenda, in view of the deep economic crisis and the challenges of feeding 9 billion people in 2050 in a more sustainable way. For an effective and efficient response the Agricultural Knowledge and Innovation Systems (Akis) needs to innovate itself and adopt new ways of working.