The paper makes significant contribution to the body of literature on the possible role of adaptation by farmers in Ghana particularly the fragile savannah ecological zone. The study explored smallholder farmers' responses to climate and ecological change effects on their livelihood activities that have emerged since the mid-1980s within the savanna agro ecological zone of Northern Ghana using an ethnographic approach.
Since 2012, hundreds of organisations across West Africa have shown a series of ten videos on Fighting striga and improving soil fertility to farmer groups and rural communities. This paper asks if a village would change its social structure just because they watched these videos? Field research in Mali revealed that the answer is yes, sometimes, especially if they watched the videos in groups and saw other farmers in the videos doing group activities.
The aim of this report is to provide a detailed review of documented social learning processes for climate changeand natural resource managementas described in peer-reviewed literature. Particular focus is on identifying (1) lessons and principles, (2) tools and approaches, (3) evaluation of social learning, as well as (4) concrete examples of impacts that social learning has contributed to.
The rise of new powers in development has generated much debate on the extent to which South–South Cooperation (SSC) constitutes a new paradigm of development more relevant to African needs or a disguise for a new form of imperialism. This paper critically examines the rise of Chinese and Brazilian technical and economic cooperation in African agriculture with two cases drawn from Ghana and Mozambique.
SOUTIEN À L’ADAPTATION AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES AU MALI On s’attend à ce que les changements climatiques provoquent de plus en plus d’événements extrêmes (sécheresses et inondations) au Mali, rendant la production de cultures et l’élevage plus difficiles pour les agriculteurs et réduisant ainsi la sécurité alimentaire et les revenus des plus pauvres du pays.
This presentation addresses the topic of sustainable agricultural intensification and gender- and age-biased land tenure systems in Africa.
Cet article présente une nouvelle approche à base de logique floue pour évaluer le risque phytosanitaire dans une serre produisant des roses. Le but de cette étude est de fournir à l’agriculteur un indice représentant le risque de présence de nuisible : Western Flower Thrips (WFT) ou Frankliniella Occidentalis, et d’enlever la phase decomptage manuel. Un systéme d’aide à la décision modulaire basé sur la connaissance d’experts a été conçu. Le systéme proposé fournit un facteur de risque en fonction des données météorologiques et statiques.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
Cet article présente une évaluation théorique de la performance urbaine des modèles alimentaires alternatifs dans la prise en charge des objectifs de développement durable (ODD) en vue d’améliorer la sécurité alimentaire urbaine. Elle concerne les modèles des systèmes alimentaires les plus relatés dans la littérature, à savoir le système alimentaire territorialisé (SAT), le City-Region Food System (CRFS) et le système alimentaire urbain intelligent (SAUI) en émergence.
Dans un contexte de rareté de l'eau, les pays de l’Afrique du Nord Ouest (NWA) consomment 70% de leurs ressources en eau renouvelables. La surexploitation des eaux souterraines, estimée à près de 50%, est devenue un défi majeur pour la conception et la mise en oeuvre de politiques durables d'allocation et de gestion de l'eau dans la région. Cette situation menace l'avenir de l'irrigation, où la contribution des eaux souterraines est déterminante : 100 % en Libye, 68 % en Tunisie, 54 % en Algérie.