The report builds on the 'towards a vision for agricultural innovation in Chile in 2030' report and is further based on a series of background papers and a consultation process that took place between December 2010 and May 2011. The current study is the third in a series of three that were agreed between the Government of Chile and the World Bank to support the development of a long-term agricultural innovation strategy. The first paper reviewed the functioning of the three main public technological institutes and recommended how their performance can be improved.
This paper aims to develop a vision statement for the agricultural sector that may then guide the future investments in Chile's agricultural innovation system, A joint and shared perspective on how the sector might look and what role agricultural innovation should play in getting there is a prerequisite for any effective strategy. But developing such a vision is not only a function of what the country wants: it also depends on the context in which Chile's agricultural sector will find itself.
Market access has been identified as one of the foremost factors influencing the performance of small-scale producers in developing countries, and in particular least-developed countries. Smallholder access to markets for higher-value or differentiated agricultural and food products (hereafter HVAF) is recognized as a vital opportunity to enhance and diversify the livelihoods of lower-income farm households and reduce rural poverty more generally (World Bank 2007a).
In order for agricultural development to fulfill its potential role as a source of growth and reducer of poverty, it must be constantly renewed through knowledge and innovation. Getting resources into the hands of innovators and providing incentives for producers, agricultural service providers, and entrepreneurs to collaborate in developing and applying new methods and technologies is a priority among institutions concerned with agricultural knowledge.
The presented model of operations capacity planning allows obtaining quantitative dimensions of the service system parameters for Administrative Services Centre. A methodology for the practical application of this model has also been presented here. The present paper aims at offering support for operations managers in the service sector for decision making regarding the operations capacity. The paper was presented at 7th annual International scientific conference "New dimensions in the development of society", held in Jelgava, Latvia, in 2011.
Dans cet article, à travers l’étude du cas de la filière forêt-bois-papier aquitaine, nous soulignons la nécessité d’intégrer une plus forte prise en compte des ressources naturelles dans les analyses en termes de systèmes d’innovation. Prenant appui sur la principale spécificité de cette filière, à savoir sa forte dépendance à la ressource ligneuse, le présent article est focalisé sur la manière dont cette dépendance configure le système.
il est possible et nécessaire aujourd’hui d’opérer un bilan du développement durable (DD) en s’appuyant sur les formes concrètes qu’il a prises depuis plus de vingt ans. Malgré les discussions, interrogations ou critiques que le terme a suscitées, il est sans conteste, depuis la conférence de Rio en 1992, l’horizon normatif des projets, programmes et politiques d’aide publique au développement qui opèrent concrètement sur les territoires, et il accompagne maintenant les stratégies d’entreprise.
L’enjeu environnemental pour les territoires croît de façon exponentielle depuis une décennie. Les décideurs politiques s’emparent de cette mouvance et favorisent des actions qui entrent dans le projet dit durable. La Région Île-de-France choisit en partie de baser son développement territorial sur l’idéologie de l’« urban greening ». Elle met en œuvre des actions pour devenir la première Écorégion d’Europe d’ici une demi-douzaine d’années et, pour ce, favorise les mesures agro-environnementales. Un des piliers de ce développement est l’agriculture biologique.
En Afrique, le droit sur le sol doit d’abord permettre l’accès à celui-ci. Pour l’agriculteur familial, ce droit est généralement celui des coutumes, que des procédures innovantes permettent de sécuriser. Les investisseurs préfèrent les titres de propriété ou les attributions du sol par l’État. Le droit foncier peut aussi être mobilisé pour garantir des crédits. Mais des contraintes limitent ce droit, résultant de l’existence de ressources naturelles renouvelables (ou non) dont l’exploitation concurrence celle de l’agriculture.
Les investissements dans les agrocarburants en Afrique constituent une véritable question de développement. Ils sont pleinement concernés par le débat sur les acquisitions de terres à grande échelle et exposent les populations et les agricultures africaines à plusieurs types de risques. Dans le même temps, ils représentent une opportunité dans des pays où l’accès à l’énergie est sans doute un des principaux facteurs de blocage au développement. Certaines formes d’investissement peuvent être encouragées, à condition qu’elles profitent aux économies locales.