Los aportes de la agricultura para el país son indiscutibles: cerca del 20% al Producto Interno Bruto, 40% del empleo nacional, alimentos; aunque la mayoría de cultivos se producen en sistemas convencionales algunos como el café y el cacao son generadores de servicios ecosistemicos como la captura de carbono y la infiltración de agua. Así mismo, la agricultura es generadora de cohesión social comunitaria y un extraordinario reservorio de cultura popular. Tres elementos de contexto ponen en riesgo este carácter multifuncional de la agricultura.
En el presente documento se puntualizan las actividades ejecutadas y los resultados alcanzados en el desarrollo de la consultoría.
Este informe busca hacer el mapeo de actores y la captura de sus visiones para determinar las demandas y necesidades de los sectores, para que sirvan de elementos sustantivos para diseñar y ejecutar políticas públicas, marcos regulatorios e intervenciones directas que tengan un alto impacto en el desarrollo de ambas cadenas, coadyuvando de esta manera a garantizar la seguridad alimentaria y reducir la pobreza extrema en el área rural de Nicaragua
Este informe, pretende dar a conocer el proceso de conformación y fortalecimiento de la Cadena de Valor de la Malanga a través de innovaciones implementadas en sus diferentes eslabones Por lo tanto, dentro de este documento se destacan: i) El proceso de aprendizaje crítico que hatenido lugar en las distintas etapas de construcción de la cadena, ii) Los resultados obtenidos por la acción colectiva de los actores de la Alianza, y iii) Las lecciones aprendidas durante todo el proceso, las cuales se convertirán en herramientas para la toma de decisiones en futuras iniciativas.
Cet article analyse un processus d’innovation dans la filière arachide au Sénégal entre 1999 et 2016. L’accent porte sur la mise en évidence des facteurs décisifs dans l’émergence d’un nouveau réseau de coopératives semencières au Sénégal sous l’impulsion de l’organisation de producteurs Asprodeb. L’analyse est basée sur la théorie du changement qui accorde une place importante aux relations entre les innovations techniques et leur contexte politique et social.
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
On observe depuis les années 2000 la volonté des acteurs de la sécurité alimentaire de rapprocher résilience et sécurité alimentaire. Ce rapprochement n’apparaît cependant pas si évident au vu de la diversité d’éléments de langages utilisés pour les associer. Cet article vise donc à faire un état des lieux de l’association de ces notions, voire de leur intégration mutuelle. L’application de la résilience à la sécurité alimentaire met-elle en avant les mêmes dimensions que lorsqu’elle est appliquée aux systèmes socioécologiques ? Y aurait-il ainsi plusieurs concepts de résilience ?
L’économie tunisienne a subi de plein fouet les effets de la crise sanitaire Covid-19 et des mesures indispensables pour la juguler prises par les pouvoirs publics comme la fermeture des frontières et le confinement de la population. L’agriculture a dû faire face aux mêmes difficultés ; toutefois, la courte durée du confinement total et la décision des autorités d’exclure les activités agricoles de certaines restrictions ont réduit les effets de la crise sanitaire sur la disponibilité des produits alimentaires.
L’agriculture oasienne reflète l’ingéniosité d’une société ayant pu vaincre un milieu hostile et défavorable au peuplement. En Algérie, cette agriculture traditionnelle a été bouleversée par l’introduction des emplois non-agricoles, qui ont perturbé la stratification sociale établie.
This presentation describes the process of the capacity needs assesment carried out by a consortium of organizations in Ethiopia, Nicaragua, Tanzania, Tunisia and Uganda. Starts describing the the methodology used for the assesment, then present the key finds and in the end gives some recommendations