Le secteur agricole constitue une activité importante au Maroc, représentant 14 % du produit national brut et employant 40 % de la population active. Avec l’émergence de la pandémie de la Covid-19, il a été ébranlé par des incertitudes économiques et par la distanciation physique qui a accentué les contraintes du travail. Toutefois, l’agriculture s’est imposée comme une activité cruciale, puisqu’elle a continué à assurer l’approvisionnement alimentaire à des prix abordables.
Cet article présente une évaluation théorique de la performance urbaine des modèles alimentaires alternatifs dans la prise en charge des objectifs de développement durable (ODD) en vue d’améliorer la sécurité alimentaire urbaine. Elle concerne les modèles des systèmes alimentaires les plus relatés dans la littérature, à savoir le système alimentaire territorialisé (SAT), le City-Region Food System (CRFS) et le système alimentaire urbain intelligent (SAUI) en émergence.
Le développement territorial durable requiert des innovations aussi bien techniques, que sociales et institutionnelles. Favoriser ces innovations est l'objectif des récentes démarches d'ingénierie territoriale qui adaptent les processus d'innovation développés en entreprise. Dans cet article, la pertinence de cette orientation est discutée en s'appuyant sur les enseignements d'une recherche-action, menée dans un territoire « fragilisé » : l' « Alto Sertão du Piauí et du Pernambouco », dans le Nordeste brésilien.
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
The main goal of this report is to provide a brief summary of land-use change in Amazonia within the focus countries of Bolivia, Brazil, Colombia, Ecuador and Peru. This report will mainly focus on the analysis and discussion of land-use change status and trends since 1970’s, a period when considerable changes started to be evident. Analyses were supported from a literature review and land use databases and maps for Andean countries (CIAT) and Brazil (INPE).
Farmers in Asia like to grow cassava because the crop will tolerate long dry periods and poor soils, and will produce reasonable yields with little inputs. Most farmers realize, however, that cassava production on slopes can cause severe erosion, while production without fertilizer inputs may lead to a decline in soil productivity. Research has shown that cassava yields can be maintained for many years with adequate application of fertilizers, and that there are various ways to reduce erosion.
Coordinated formal efforts to generate technologies for enhancing agricultural development in Ethiopia was mainly rooted in formal research and development institutions up to very recently. A number of improved technologies have been generated wlth the efforts made so far and the superiority of some of the technologies over the traditional practices has already been proved, at least for the major commodities.
Esta guía está dirigida principalmente a aquellos actores que desempeñan el rol de facilitadores de procesos entre los vendedoresy los compradores que se han mencionado anteriormente. Puede ayudarle a usted y a su organización a facilitar un proceso sistemático de aprendizaje entre actores de una cadena de valor seleccionada, y está diseñada para acompañarlo en un proceso de innovación basado en la aplicación de un juego de 4 herramientas participativas:1.
This guide is the second in a series of documents designed to support agencies implementing participatory agroenterprise development program operating within defined geographical areas.
This booklet is the third in the CIAT in Asia Research for Development series. It was based on the experiences of researchers and farmers working with the AusAID-funded Forages for Smallholders Project (FSP) in Southeast Asia from 1995 to 1999. This project was a partnership of smallholder farmers, development workers and researchers who were using participatory approaches to developing forage technologies on farms.