This report brings the information about the capacity needs analysis carried out by CRP in five countries. Capacity development is a core enabling factor in the delivery of the 5 Livestock CRP flagships. One of the strategic capacity development actions for the Livestock CRP is to design evidence based capacity development interventions based on capacity needs analysis.
Although much has been written on how to implement and facilitate innovation platforms efficiently, few studies support ex-ante appraisal of when and for what purpose innovation platforms provide an appropriate mechanism for achieving development outcomes, and what kinds of human and financial resource investments and enabling environments are required. Without these insights, innovation platforms run the risk of being promoted as a panacea for all problems in the agricultural sector.
This blended learning program for facilitators of innovation platforms was developed working with SMEs from ILRI, IITA, ICRAF and Wageningen University and drawing on materials from FARA and CIAT to sequence content and learning experiences so that learners can rapidly acquire and retain the skills and knowledge they need to fill this demanding role.
This blended learning program lead by ILRI draws on the practice briefs, the workshop experience and materials from partners including IITA, Wageningen University, ICRAF and FARA. It comprises an online component of 14 modules and a 3-day workshop. The final component of the course is a face-to-face workshop which provides learners with opportunities to apply their newly acquired knowledge to the challenges of their own platform or that of their peers. The workshop features role plays and collaborative group work based on actual scenarios.
En matière de semences, on oppose souvent un modèle orienté vers le business à un modèle orienté vers l’agriculture paysanne. Ces deux modèles ont des implications socio-économiques différentes, aussi bien en termes d’emplois, que d’autonomie des agriculteurs ou de biodiversité. Les agricultures paysannes des pays du Sud ont-elles le poids et l’influence politique nécessaires pour faire prévaloir leurs modèles semenciers ? C’est la question que nous explorons dans ce dossier.
Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
Les semences, c’est la vie. Le point de départ d’un produit agricole et des aliments qui se trouvent dans nos assiettes. C’est dire leur importance. Mais, le sujet est complexe et fait aussi débat. Parce que les semences se trouvent au coeur d’un imbroglio d’acteurs, d’intérêts et de modes de production différents. C’est un vrai marché (p.4) avec tous les enjeux que cela comporte (p.7-8).
Aujourd’hui 60% des 870 millions de personnes qui souffrent de la faim dans le monde sont des femmes et des filles qui vivent principalement dans les zones rurales du Sud. Pourtant, la Fao estime que les femmes produisent 60 à 80% des aliments de consommation familiale dans la plupart des pays en développement et sont responsables de la moitié de la production alimentaire mondiale ! Ce quarantième numéro de Dajaloo donne la parole à ces femmes qui ASSURENT!
Les changements climatiques sont intimement liés à l’agriculture et à la sécurité alimentaire. En effet, on peut considérer l’agriculture à la fois comme acteur, victime et sauveur des changements climatiques. Malgré ce triple rôle évident, l’agriculture n’apparait pas en tant que telle dans les négociations.
Depuis quelques années, en Afrique de l’Ouest, les institutions régionales et leurs bailleurs de fonds reconnaissent aux systèmes de stockage alimentaire de proximité un rôle à jouer dans la sécurité alimentaire et dans la régulation des marchés. L’appui aux stocks de proximité, considérés comme la première ligne de défense en cas de crise alimentaire, est explicitement retenu dans la stratégie de stockage de la CEDEAO, de même que le renforcement des capacités de collecte, de stockage et de mise en marché des organisations de producteurs dans une perspective de régulation du marché.