Agricultural and Rural Development (ARD) is a fundamental component of Ethiopia's economic growth and poverty reduction strategy.
Revitalizing agriculture is critical for rural Indonesia's economic prosperity. Historically, Indonesia's dramatic poverty reduction was driven by progress in agriculture and agriculture continues to be a potent driver of growth and poverty alleviation. Agricultural sector growth strongly induces non-agricultural sector growth in rural areas, particularly through demand for locally produced and services. Agricultural sector productivity growth (along with price changes) has remained the most important way out of poverty.
This report summarizes the findings of the Nigeria Agriculture Public Expenditure Review (NAGPER). The NAGPER was undertaken to achieve four main objectives: (i) establish a robust data base on public expenditure in the agricultural sector; (ii) diagnose the level and composition of agricultural spending in the recent past; (iii) understand the budget processes that determine resource allocation in the sector; and (iv) draw preliminary policy recommendations for agriculture. These objectives are admittedly modest.
Funded by USAID’s Bureau of Economic Growth, Agriculture and Trade and implemented by Development Alternatives Inc. (DAI), the RAISE SPS Project (“Assistance for Trade Capacity Building in Relation to the Application of Sanitary and Phytosanitary Measures”) is Task Order 14 under the RAISE (“Rural and Agricultural Incomes with a Sustainable Environment”) Indefinite Quantity Contract with DAI as Prime Contractor.
In the Amazon, slash and burn is the most common technique used by American-Indians, small farmers and even big ranches to transform forests into rural landscapes. The basis of food subsistence for diverse populations (rice, corn and bean), slash and burn is also a must for the plantation of cocoa, coffee, palms and pastures. The Amazonian rural landscape is currently dominated by pastures, occupying around 80 % of the deforested surface.
Les mutations du secteur agricole bamiléké (Ouest-Cameroun) ont été très importantes depuis le milieu des années 80, marqué par la chute des prix du café, alors principale production du pays Bamiléké, et par la crise économique au Cameroun. Dans cette thèse, le concept de dispositif (Foucault, Moisdon, Maugeri, RIDT-INRA) est l'outil principal d'analyse de ce secteur agricole.
Au cours des vingt dernières années, l’évolution des politiques économiques au Nord comme au Sud a été marquée par la mise en place de processus de libéralisation. Selon les contextes institutionnels, la libéralisation peut prendre des formes très contrastées. Au Costa Rica, suite à l’adhésion du pays à l’OMC, la libéralisation de la filière haricot a été très marquée, du fait d’une protection tarifaire basse, alors que celle de la filière lait n’a pas été effective, du fait d’une protection tarifaire élevée, notamment.
Les exigences du marché s’accentuent progressivement avec la mise en place de systèmes de normes et de certification destinés à garantir la santé du consommateur, le droit des travailleurs, et limiter les impacts négatifs sur l’environnement. La production d’ananas dans le nord du Costa Rica est plus particulièrement concernée par la loi américaine sur le bioterrorisme et les normes EUREPGAP issues du secteur privé européen.
Cet article propose de s’interroger sur les outils géographiques d’évaluation de la durabilité socioéconomique, dans le cadre d’une réflexion surle rôle de l’agriculture dans le développement durable des territoires ruraux. L’exemple de la commercialisation des produits bio, à travers la comparaison de deux systèmes de livraison à domicile de paniers de fruits etlégumes bio dans la région de Stockholm, a permis d’élaborer et de tester une méthodologie d’évaluation de la durabilité des réseaux alimentaires étudiés.
La crise cacaoyère de la fin de la décennie 1970 a profondément bouleversé les stratégies de survie des producteurs. Elle s’est manifestée par la rareté des facteurs de production (la terre et le travail), la diminution de la production et du revenu, la transformation du milieu écologique et la baisse de la pluviométrie. Pour faire face à l’ensemble de ces contraintes, les producteurs ont adopté diverses stratégies dont l’objectif est soit de diversifier les sources de revenu, soit de réduire les charges familiales.