Para revertir la situación de inseguridad alimentaria, el sector agropecuario cubano requiere de inversiones en infraestructuras y de cambios en la gestión e innovaciones que se adapten a las condiciones económicas, ecológicas, sociales y culturales de cada territorio. Ello implica una mejora de las condiciones en los ecosistemas a partir de la generación colectiva de alternativas con base en el intercambio, el apoyo en las alianzas y las experiencias entre los diferentes actores.
L’agroécologie s’inscrit dans le registre de l’écologie, qui s’intéresse aux interactions - et à leurs conséquences - entre l’homme et son milieu, en tentant de minimiser les effets négatifs de certaines des activités humaines. Elle vise la préservation de l’environnement, le renouvellement durable des ressources naturelles nécessaire à la production (eau, sol, biodiversité...) et l’économie d’utilisation des ressources non renouvelables.
En 2006, un rapport de la FAO pointait du doigt l’élevage comme l’un des principaux responsables du réchauffement climatique. Si la viande semble donc bien sur le gril, faut-il pour autant tous devenir végétariens ? Dans les pays du Sud, l’élevage a une grande importance socio-économique. L’élevage est la ressource principale pour plus d’un milliard de paysans pauvres. C’est essentiellement le Nord, avec en moyenne 80kg de viande consommée par habitant et par an, qui contribue aux 18 % d’émissions de gaz à effet de serre dues à l’élevage.
L’Assemblée générale des Nations unies a annoncé que 2010 est l’Année internationale de la biodiversité. Alors que l’humanité commence seulement à tenter de résoudre les dégâts provoqués par le réchauffement climatique, la perte de la biodiversité engendrée par les activités humaines est encore plus destructrice pour la planète ! Pour les populations rurales et les paysans du Sud, la préservation de la biodiversité est vitale. Comme le dit Patrick Ten Brink, directeur de l’Institut européen des politiques environnementales : » Les écosystèmes sont le PIB des pauvres en milieu rural ».
Chez nous, certains en rêveraient presque … fini le chant du coq à 5h du matin, les odeurs de purin dans les campagnes, les manifestations des producteurs de lait à coup de tracteurs qui bloquent les entrées des villes, et aussi terminé l’argent du contribuable «gaspillé» dans le gouffre des subventions agricoles. D’autres, avec un haussement d’épaules, ne noteraient peut-être même pas la différence.
Este estudio apunta a evaluar esta pregunta a través del examen de un caso exitoso de conformación de una cadena productiva de jugos en Paraguay, con la participación de una empresa exportadora. La primera parte del estudio hace consideraciones sobre el debate entre comercio y pobreza en la literatura, al mismo tiempo de analizar brevemente la estructura productiva del Paraguay y sus niveles de pobreza, para luego indicar las principales hipótesis de la investigación.
The study explored the nature of innovation response capacity and the building of policy-relevant innovation capacity in the context of livestock-related emergencies in East Africa.
During May 2010 the International Centre for Tropical Agriculture (CIAT) hosted two events related to knowledge management (KM): The Knowledge Share Fair for Latin America and the Caribbean, funded by the Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO), and a regional meeting of the Knowledge Management for Development (KM4Dev) community. The Fair was attended by 200 professionals from more than 70 organizations and 18 countries and showcased more than 40 experiences related to KM in agriculture, development and food security.
This Module is the first in a series of four that address capacity development competencies in FAO. It is intended to provide FAO staff and consultants with a basic understanding and knowledge of Capacity Development (CD), reflecting the international debate as well as FAO’s perspective on CD. It also provides some key concepts for adopting changes in responsibilities, behaviours and attitudes that are consistent with FAO’s new role in CD.
Des investisseurs publics et privés, nationaux ou étrangers, lancent des programmes d’acquisition, de location ou d’utilisation contractuelle de terres agricoles dans des pays disposant de ressources foncières bon marché, où le marché foncier relève généralement de l’État (Afrique, Asie centrale, Amérique du Sud). Cette tendance s’est accélérée à la suite de la crise alimentaire du printemps 2008, puis de la crise fi nancière. Selon la FAO, entre 20 et 30 millions d’hectares de terres auraient fait l’objet de transactions ces dernières années.