Les systèmes alimentaires et agricoles actuels parviennent à fournir de grandes quantités d’aliments sur les marchés mondiaux. Cependant, les systèmes agricoles à forte intensité d’intrants externes et de ressources sont à l’origine d’une déforestation massive, de pénuries d’eau, d’une perte de biodiversité, d’un épuisement des sols et d’importantes émissions de gaz à effet de serre. En dépit des progrès significatifs accomplis récemment, la faim et l’extrême pauvreté demeurent des problèmes cruciaux au niveau mondial.
L’agriculture est un secteur économique et social vital pour la région Proche-Orient et Afrique du Nord, où elle représente en moyenne 14 pour cent du PIB (chiffre excluant les pays riches producteurs de pétrole) et fournit des emplois et des revenus à 38 pour cent de la population économiquement active. La petite agriculture représente plus de 80 pour cent de la production agricole et contribue de manière déterminante à la sécurité alimentaire, à la lutte contre la pauvreté et à la gestion durable des ressources naturelles.
L’agroécologie s’inscrit dans le registre de l’écologie, qui s’intéresse aux interactions - et à leurs conséquences - entre l’homme et son milieu, en tentant de minimiser les effets négatifs de certaines des activités humaines. Elle vise la préservation de l’environnement, le renouvellement durable des ressources naturelles nécessaire à la production (eau, sol, biodiversité...) et l’économie d’utilisation des ressources non renouvelables.
Un guide pratique pour la lutte intégrée contre les ravageurs et l’aquaculture dans les systèmes rizicoles de la Guyane et du Suriname.
Le secteur agricole dans la bande de Gaza est confronté à un certain nombre de problèmes systémiques dont le plus important est l’épuisement de son aquifère côtier, qui est la seule source d’eau douce. L’aquifère est également extrêmement pollué, et la salinité élevée des eaux souterraines empêche certains des légumes les plus produits dans la bande de Gaza d’avoir un rendement satisfaisant.
Dans le cadre de ce projet (2015-2018), la FAO a travaillé dans 21 pays (voir la carte ci-dessous) au travers de partenariats avec des OSC nationales pour la réalisation d’ateliers de sensibilisation et de renforcement des capacités afin de: Améliorer les connaissances et la compréhension des OSC par rapport aux DVGF; Accroître leurs compétences en matière de construction et connexion de réseaux et de plaidoyer pour défendre leurs droits fonciers et renforcer les partenariats pour une meilleure application des DVGF à tous les niveaux; Renforcer leurs capacités pour une participation e
Las presentes Directrices voluntarias para lograr la sostenibilidad de la pesca en pequeña escala en el contexto de la seguridad alimentaria y la erradicación de la pobreza se han elaborado como complemento del Código de Conducta de la FAO para la Pesca Responsable (en adelante, el Código) de 1995. Se formularon a fin de proporcionar orientación complementaria respecto de la pesca en pequeña escala en apoyo de los principios y disposiciones generales del Código.
La FAO, en collaboration avec le ministère de l’agriculture du Gabon, a exécuté un projet d’intensification vivrière à travers la mécanisation agricole à Lébamba. En privilégiant l’approche Champs Ecoles Paysans (CEP), les populations regroupées en coopératives agricoles ont été formées sur les approches de l’agriculture durable, notamment à travers l’apprentissage de nouveaux itinéraires de culture. De plus, par l’utilisation des outils de mécanisation agricole, la pénibilité de leur travail est réduite et leur rendement est augmenté.
L’agriculture familiale est de loin la forme d’agriculture la plus répandue au monde, tant dans les pays développés que dans les pays en développement. Elle représente la principale source d’emplois dans le monde. C’est bien plus qu’une simple modalité de production alimentaire. C’est un mode de vie.
La FAO a adopté une approche multidimensionnelle pour aider les exploitants familiaux pauvres à faire face aux difficultés qu’ils rencontrent au quotidien et renforcer leur capacité de création de revenus, afin de réduire la pauvreté rurale.