Malgré les efforts déployés ces dernières années pour améliorer la situation de l’agriculture en Afrique subsaharienne, peu de changements ont été observés. Cet insuccès est dû, en partie, au fait que ces efforts ont été consentis par diverses entités de petite taille, aux capacités de financement à court terme et sans l’expertise nécessaire pour diffuser les résultats de leurs travaux de recherche. De plus, ces initiatives ont aussi pâti de la déconnexion entre la recherche et les utilisateurs finaux.
The nature of the issues around which Agricultural Research for Development (ARD) partnerships are formed requires a different way of conceptualizing and thinking to that commonly found in many agricultural professionals. This brief clarifies the components of a system of interest to an ARD partnership.
Networks and organizations need to find ways to be more effective in pursuing their objectives and thus seek to “learn” to be able to respond, innovate and adapt to complex, changing social and environmental conditions, thus bringing about social change. An essential capacity for ARD (Agricultural Research for Development) partnerships is therefore the ability to reflect and learn. Learning is not simply about increasing knowledge and skills or changing attitudes; it is about making sense of complexity to act more effectively.
This brief illustrates the different forms of knowledge, and the ways to create and manage it.
The CDAIS ‘marketplace’ to promote agricultural innovations in Burkina Faso took place on July 6th 2017 in Ouagadougou. It was a rich event involving more than 80 people who are working directly with, or interested in working with, different partnerships. The marketplace allowed stakeholders in the six selected niches to get to know and develop relationships with suppliers of agricultural support services. It also provided an opportunity for service suppliers and other participants to show their interests in accompanying the niches on their respective journeys…
Depuis quelques années, en Afrique de l’Ouest, les institutions régionales et leurs bailleurs de fonds reconnaissent aux systèmes de stockage alimentaire de proximité un rôle à jouer dans la sécurité alimentaire et dans la régulation des marchés. L’appui aux stocks de proximité, considérés comme la première ligne de défense en cas de crise alimentaire, est explicitement retenu dans la stratégie de stockage de la CEDEAO, de même que le renforcement des capacités de collecte, de stockage et de mise en marché des organisations de producteurs dans une perspective de régulation du marché.
Le premier Marché des Innovations Agricoles (MIA) au Burkina Faso a eu lieu le 6 juillet 2017 à l’hôtel Laïco, à Ouagadougou. Il s’est tenu à « guichet fermé » : seuls les fournisseurs de service support à l’innovation et les bailleurs pré-identifiés par l’équipe du projet CDAIS comme étant pertinents pour renforcer les capacités des acteurs des Situations d’Innovation Localisées (SIL) ont été invités à y participer.
Scientific researchers’ increasing demand for knowledge service under the new situation, makes it urgent to embed information service into user research process, ad build an incorporate knowledge platform that integrates knowledge, skills, tools, and services of certain professional field. This paper put forward the technical solution of agricultural domain knowledge service platform based on ontology, including resource organization based on ontology, platform design and development.
Increasing attention is being given to evaluating the impact of advisory services in terms of their effectiveness in providing farmers with knowledge and networks for innovation as well as understanding the factors that influence this effectiveness (Prager et al, 2017). The demand and uptake of advisory services is one factor and Klerkx et al (2017) comment on the variation in farmers’ demand and the influences of variables such as farm size, asset status and education as well as stability or turbulence in the regulatory environment.
L’information agricole est l’élément instrumentant le quotidien de l’agriculteur. Mais, les nombreuses politiques agricoles mises en place au Cameroun n’ont pas toujours facilitées la diffusion et l’accès à l’information agricole. Les agriculteurs ruraux n’ont accès qu’à une infime quantité d’informations sur l’agriculture, malgré l’énorme corpus de connaissances existant dans les instituts de recherche, les universités, les offices et les bibliothèques. Fort de cela, il serait judicieux dans la présente étude, de faire un examen des besoins en information des agriculteurs de la Menoua.