La crise alimentaire mondiale de 2008 a bien évidemment également touché l’Afrique de l’ouest et l’une de ses filières phares : le riz. Cette crise a incité les États et les institutions régionales à mettre en oeuvre des mesures visant à améliorer la production et l’offre locales de riz.
Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
Les semences, c’est la vie. Le point de départ d’un produit agricole et des aliments qui se trouvent dans nos assiettes. C’est dire leur importance. Mais, le sujet est complexe et fait aussi débat. Parce que les semences se trouvent au coeur d’un imbroglio d’acteurs, d’intérêts et de modes de production différents. C’est un vrai marché (p.4) avec tous les enjeux que cela comporte (p.7-8).
Les changements climatiques sont intimement liés à l’agriculture et à la sécurité alimentaire. En effet, on peut considérer l’agriculture à la fois comme acteur, victime et sauveur des changements climatiques. Malgré ce triple rôle évident, l’agriculture n’apparait pas en tant que telle dans les négociations.
Depuis quelques années, en Afrique de l’Ouest, les institutions régionales et leurs bailleurs de fonds reconnaissent aux systèmes de stockage alimentaire de proximité un rôle à jouer dans la sécurité alimentaire et dans la régulation des marchés. L’appui aux stocks de proximité, considérés comme la première ligne de défense en cas de crise alimentaire, est explicitement retenu dans la stratégie de stockage de la CEDEAO, de même que le renforcement des capacités de collecte, de stockage et de mise en marché des organisations de producteurs dans une perspective de régulation du marché.
Drawing on studies from Africa, Asia and South America, this book provides empirical evidence and conceptual explorations of the gendered dimensions of food security. It investigates how food security and gender inequity are conceptualized within interventions, assesses the impacts and outcomes of gender-responsive programs on food security and gender equity, and addresses diverse approaches to gender research and practice that range from descriptive and analytical to strategic and transformative.
What are key characteristics of rural innovators? How are their experiences similar for women and men, and how are they different? To examine these questions, this study draw on individual interviews with 336 rural women and men known in their communities for trying out new things in agriculture. The data form part of 84 GENNOVATE community case studies from 19 countries. Building on study participants’ own reflections and experiences with innovation in their agricultural livelihoods, we combine variable-oriented analysis and analysis of specific individuals’ lived experience.
This publication contains twelve modules which cover a selection of major reform measures in agricultural extension being promulgated and implemented internationally, such as linking farmers to markets, making advisory services more demand-driven, promoting pluralistic advisory systems, and enhancing the role of advisory services within agricultural innovation systems.
This brochure presents the five-year TAP-AIS project (2019-2024) funded by the European Union under the DeSIRA Initiative and implemented by the Food and Agriculture Organization (FAO) of the United Nations. The project has the main objective to strengthen capacities to innovate in national agricultural innovation systems (AIS) in the context of climate-relevant, productive, and sustainable transformation of agriculture and food systems in Africa, Latin America, Asia and the Pacific.
The 2021 Global Report on Food Crises (GRFC 2021) highlights the remarkably high severity and numbers of people in Crisis or worse (IPC/CH Phase 3 or above) or equivalent in 55 countries/territories, driven by persistent conflict, pre-existing and COVID-19-related economic shocks, and weather extremes. The number identified in the 2021 edition is the highest in the report’s five-year existence. The report is produced by the Global Network against Food Crises (which includes WFP), an international alliance working to address the root causes of extreme hunger.