African agriculture is currently at a crossroads, at which persistent food shortages are compounded by threats from climate change. But, as this book argues, Africa can feed itself in a generation and help contribute to global food security. To achieve this Africa has to define agriculture as a force in economic growth by: advancing scientific and technological research; investing in infrastructure; fostering higher technical training; and creating regional markets.
The European Innovation Partnership for agricultural productivity and sustainability (EIP-AGRI), which can be perceived as a platform based on interaction among farmers, researchers, and advisors/extensionists, represents a useful tool for a better understanding of applied innovation processes.
This report explores the role of rural networks in enhancing innovation processes, questioning the features of the agricultural/rural networks could enhance farmers’ ability to co-innovate in cooperation with other actors. The prospect of this investigation is also to provide interesting and significant experiences that constitute examples for the ‘European Innovation Partnership’ by increasing farmers’ capacities to create, test, implement and evaluate innovations in cooperation with other rural actors.
The present case study investigated a policy-induced agricultural innovation network in Brandenburg.
This book represents the proceedings of the FAO international technical conference dedicated to Agricultural Biotechnologies in Developing Countries (ABDC-10) that took place in Guadalajara, Mexico on 1-4 March 2010. A major objective of the conference was to take stock of the application of biotechnologies across the different food and agricultural sectors in developing countries, in order to learn from the past and to identify options for the future to face the challenges of food insecurity, climate change and natural resource degradation.
Michael Kügler, from the Brussels Office of the EU-Platform of Chambers of Agriculture, presented the EU-Innovation Partnership (EIP),designed to support knowledge transfer, coop-eration, and collective investment, at the 3rd GFRAS Annual Meeting, "The Role of Rural Advisory Services in Agricultural Innovation Systems", 26-28 September 2012, Philippines. He referred to the need to pursue innovation in a cross-sectorial approach, interlinking existing initiatives, facilitating communication, providing value added through networking, and achieving syner-gies.
L’enjeu environnemental pour les territoires croît de façon exponentielle depuis une décennie. Les décideurs politiques s’emparent de cette mouvance et favorisent des actions qui entrent dans le projet dit durable. La Région Île-de-France choisit en partie de baser son développement territorial sur l’idéologie de l’« urban greening ». Elle met en œuvre des actions pour devenir la première Écorégion d’Europe d’ici une demi-douzaine d’années et, pour ce, favorise les mesures agro-environnementales. Un des piliers de ce développement est l’agriculture biologique.
Cet article propose de s’interroger sur les outils géographiques d’évaluation de la durabilité socioéconomique, dans le cadre d’une réflexion surle rôle de l’agriculture dans le développement durable des territoires ruraux. L’exemple de la commercialisation des produits bio, à travers la comparaison de deux systèmes de livraison à domicile de paniers de fruits etlégumes bio dans la région de Stockholm, a permis d’élaborer et de tester une méthodologie d’évaluation de la durabilité des réseaux alimentaires étudiés.
L’alimentation en eau et la protection des milieux aquatiques sont confrontées aux pollutions diffuses d’origine agricole dans le nord-ouest de la France. Les politiques de gestion des ressources en eau s’appuient à présent sur la participation des agriculteurs afin de concevoir des solutions adaptées aux territoires. En effet, si la réglementation est nécessaire, elle n’est pas suffisante pour atteindre une qualité satisfaisante sur de nombreux bassins versants fortement pollués par les nitrates, le phosphore ou les produits phytosanitaires.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.