Dans plusieurs domaines des sciences sociales et humaines (éducation, communication, travail social, économie sociale, médecine communautaire, technologie rurale, et pratiques politiques et syndicales, entre autres), et même dans les sciences dites « dures », la recherche appartient de moins en moins à un monde à part de spécialistes éloignés du terrain. Ce type de recherches – recherche participative, recherche-action, recherche collaborative, recherche-formation – se caractérise par un processus de production des connaissances effectué de concert avec les acteurs de terrain.
Les démarches participatives suscitent un intérêt grandissant en tant que pratiques de recherche en agriculture. Dans l'objectif de faciliter les échanges de pratiques entre chercheurs, cet article propose une grille d'analyse qui appréhende le processus de participation de façon globale et dynamique.
Esta presentación muestra una solución sostenible para los pequeños productores y las familias rurales, particularmente por medio de nuevas tecnologías.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
Most agencies supporting agricultural research in sub-Saharan Africa (SSA) provide funds for discrete projects over specific periods of time, usually a maximum of three years. Research topics identified for calls for proposals are not always well aligned with users’ needs. In particular, research topics may not reflect the priorities of organizations - such as farmer organizations and private agribusinesses, with interests in the research outcomes; they are not generally supported to play a significant role as project partners.
La plupart des agences qui soutiennent la recherche agricole en Afrique subsaharienne fournissent des financements à des projets distincts durant des périodes spécifiques, en général pour une durée maximale de trois ans. Les sujets de recherche identifiés pour les appels à propositions ne correspondent pas toujours aux besoins des utilisateurs. Ils peuvent, en particulier, ne pas refléter les priorités des organisations – comme les organisations paysannes ou les entreprises agricoles privées, pourtant intéressées par les résultats de la recherche.
In 2011, the Platform for African European Partnership on Agricultural Research for Development (PAEPARD) launched the Users-led Process (ULP) to better articulate users’ needs in a multi-stakeholder research and innovation (R&I) partnership. The ULP comprises six critical steps: (1) Identification of a federating theme; (2) Desk review; (3) Introduction workshop; (4) Multi-stakeholder research question inception workshop; (5) Concept note development; (6) Full proposal development.
En 2011, la Plateforme pour un partenariat Afrique-Europe dans le domaine de la recherche agricole pour le développement (Platform for African European Partnership on Agricultural Research for Development, PAEPARD) a lancé le processus guidé par les utilisateurs (PGU) afin de mieux intégrer leurs besoins dans un partenariat multiacteurs pour la recherche et l’innovation (R&I).
Cette étude a été menée dans le cadre du projet PAEPARD ou Plateforme pour un partenariat Afrique-Europe dans le domaine de la recherche agricole pour le développement, projet financé à 80% par la Commission européenne avec pour objectif de consolider la collaboration entre l’Afrique et l’Europe dans le domaine de la Recherche Agricole pour le Développement.