Agricultural research continues to be a good investment. The studies show that investments in international and national agricultural research account for almost all of the total factor productivity (TFP) growth in SSA and large shares of agricultural growth globally. The existing agricultural research institutions have, on average, delivered rates of return to public investment above 30-40%, which is much higher than the 5-10% available to other public investments or the 2-5% cost of borrowing public funds.
Various indications that research and development efforts are escalating in developing countries indicate the slight shift of such countries from just being end markets to being developers. The aggregate adoption of biotech crops in developing countries is clearly approaching that in developed countries. The next generation biotech crops with superior traits, with improved properties and quality traits will likely be created and deployed in developing countries, particularly in Asia, where half of the world’s population dwells.
This study identified gender-based constraints affecting the production, processing and marketing of biofortified cassava in two states in Nigeria, using a mixed methods approach. The study identified major differences between the two study sites (Benue and Oyo). The scale of production of biofortified cassava is higher in Oyo state among adult men because of their active involvement and collaboration with research institutes within the state and the ease of transporting products to Lagos State for designated diverse markets.
L’économie tunisienne a subi de plein fouet les effets de la crise sanitaire Covid-19 et des mesures indispensables pour la juguler prises par les pouvoirs publics comme la fermeture des frontières et le confinement de la population. L’agriculture a dû faire face aux mêmes difficultés ; toutefois, la courte durée du confinement total et la décision des autorités d’exclure les activités agricoles de certaines restrictions ont réduit les effets de la crise sanitaire sur la disponibilité des produits alimentaires.
Dans un contexte de rareté de l'eau, les pays de l’Afrique du Nord Ouest (NWA) consomment 70% de leurs ressources en eau renouvelables. La surexploitation des eaux souterraines, estimée à près de 50%, est devenue un défi majeur pour la conception et la mise en oeuvre de politiques durables d'allocation et de gestion de l'eau dans la région. Cette situation menace l'avenir de l'irrigation, où la contribution des eaux souterraines est déterminante : 100 % en Libye, 68 % en Tunisie, 54 % en Algérie.
Méthodologie: suivant une démarche préventive, notre travail s’intéresse aux conséquences nutritionnelles liées à la santé et représentant un facteur de changement climatique influant sur l’efficience des politiques préventives mises en œuvre.
La conférence du programme mondial de SEWOH (Initiative spéciale "Un seul monde sans faim") Programme mondial "Sécurité alimentaire et nutritionnelle, renforcement de la résilience" au Bénin a été consacrée à la promotion des changes et de la coopération Sud-Sud.
Le projet fait partie de l’initiative spéciale du ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) " Un seul monde sans faim". Les projets de ladite initiative spéciale contribuent la réduction de l’extrême pauvreté et la faim par la mise en place, dans le monde, de plusieurs projets globaux touchant différents secteurs. Les thèmes visés sont la sécurité alimentaire, la nutrition et la résilience.
Avec le GIZ Programme Mondial Sécurité Alimentaire et Renforcement de la Résilience, l'Allemagne apporte une contribution significative aux objectifs de développement durable (en particulier la SDG 2 - "faim zéro"). Le programme vise à améliorer durablement la nutrition et la résilience des personnes - en particulier des femmes et des enfants. Pour y parvenir, le Programme Mondial combine des mesures de différents secteurs, par exemple l'agriculture, la santé, la sécurité sociale et le WASH (Water, Sanitation, Hygiene).
Due to political conflict, hundreds of thousands of people had to leave their homes in northern Mali in the last decade. Many have since returned to their home but struggle to regain their livelihoods. In the Timbuktu region, food insecurity is very high and 15 percent of children under 5 years old suffer from acute malnutrition. Goundam, one of the administrative districts of the Timbuktu region, is populated by livestock farmers. Among the previously displaced people, many have lost all their livestock, and with that their traditional means of livelihood.