Les recommandations de cet atelier sont organisées en trois parties. La première propose un état des lieux des interactions qu’entretient l’agriculture familiale avec les acteurs du système alimentaire mondial. La seconde relate les principaux débats et controverses ayant structuré l’atelier. La troisième explore Le rôle de la recherche dans l’évolution de l’agriculture familiale en tant qu’élément du système alimentaire ?
Depuis plusieurs années déjà, La Vía Campesina et GRAIN dénoncent le système d'alimentation agroindustriel qui cause la moitié des émissions de gaz à effet de serre de la planète. Mais les gouvernements refusent de s'attaquer sérieusement à ces problèmes. Cette nouvelle vidéo de La Vía Campesina et GRAIN décrit les éléments nécessaires pour comprendre les effets du système agroindustriel sur notre climat et nous explique en même temps comment nous pouvons agir pour renverser la vapeur et commencer à refroidir la planète.
Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.
L’agriculture familiale est de loin la forme d’agriculture la plus répandue au monde, tant dans les pays développés que dans les pays en développement. Elle représente la principale source d’emplois dans le monde. C’est bien plus qu’une simple modalité de production alimentaire. C’est un mode de vie.
La plupart des personnes pauvres et qui souffrent de la faim, dans le monde, sont des ruraux qui tirent un maigre revenu de l’agriculture. En 2010, sur les 1,2 milliard de personnes extrêmement pauvres, quelque 900 millions vivait en milieu rural. Environ 750 millions de ces personnes travaillaient dans l’agriculture, généralement comme petits exploitants familiaux (Olinto et al., 2013). On estime que 200 millions de ruraux pauvres pourraient émigrer vers les villes ces 15 prochaines années, mais la plupart d’entre eux resteront toutefois à la campagne.
Este informe describe los cambios y las dinámicas actuales de los vínculos urbano-rurales enfocandose en el análisis de los circuitos cortos de comercialización (CCC) e iniciativas empresariales exitosas que valorizan los sistemas alimentarios locales
Innovations play a significant role in the primary sector (i.e., agriculture, fisheries and forestry), ensuring a greater performance towards bioeconomy and sustainability. Innovation is being progressively applied to examining the organization of joint technological, social, and institutional modernizations in the primary sector. Exploring the governance of actor relations, potential policies, and support structures is crucial in the phase of innovation, e.g., during research activities, often applied at the national or sectorial scale.
Exclusion of Indigenous and local communities' connections to the rest-of-nature is a typical problem in policy-decision making. This paper highlights the key attributes of these connections and suggests evaluation pathways to mainstream them into policy development. For this, we integrate and apply the ecosystem services (ES) and human capability concepts.
The language of co-creation has become popular with policy makers, researchers and consultants wanting to support evidence-based change. However, there is little agreement about what features a research or consultancy project must have for peers to recognise the project as co-creative, and therefore for it to contribute to the growing body of practice and theory under that heading. This means that scholars and practitioners do not have a shared basis for critical reflection, improving practice and debating ethics, legitimacy and quality.
The analysis of the concept of resilience in supply chain management studies mostly focuses on the downstream side of the value chain and tacitly assumes an unlimited supply of raw materials. This assumption is unreasonable for agricultural value chains, as upstream disruptions clearly have a material impact on the availability of raw materials, and indeed, are a common source of supply problems. This paper aims to present a framework for the operationalisation of the concept of socioecological resilience in agricultural value chains that incorporates upstream activities.