L’agriculture est un secteur économique et social vital pour la région Proche-Orient et Afrique du Nord, où elle représente en moyenne 14 pour cent du PIB (chiffre excluant les pays riches producteurs de pétrole) et fournit des emplois et des revenus à 38 pour cent de la population économiquement active. La petite agriculture représente plus de 80 pour cent de la production agricole et contribue de manière déterminante à la sécurité alimentaire, à la lutte contre la pauvreté et à la gestion durable des ressources naturelles.
Les agricultures familiales constituent la très grande majorité des agricultures du monde, la première source d’emploi en milieu rural et le premier fournisseur de biens alimentaires. Elles sont à l’honneur sur la scène internationale avec la proclamation par l’Organisation des Nations Unies de l’année 2014 « Année internationale de l'agriculture familiale » ; c’est l’occasion pour la communauté scientifique d’Agropolis International de témoigner de son fort engagement, depuis de nombreuses années, en matière de recherche « sur » et « pour » les agricultures familiales.
Cette publication offre de nombreux exemples concrets détaillant différentes manières de réengager les jeunes dans le secteur agricole. Elle montre à quel point des programmes éducationnels sur mesure peuvent offrir aux jeunes les compétences et la perspicacité nécessaires pour se lancer en agriculture et adopter des méthodes de production respectueuses de l’environnement. Beaucoup des approches ou des initiatives décrites dans cette publication sont issues des jeunes eux-mêmes.
Dans le cadre de ce projet (2015-2018), la FAO a travaillé dans 21 pays (voir la carte ci-dessous) au travers de partenariats avec des OSC nationales pour la réalisation d’ateliers de sensibilisation et de renforcement des capacités afin de: Améliorer les connaissances et la compréhension des OSC par rapport aux DVGF; Accroître leurs compétences en matière de construction et connexion de réseaux et de plaidoyer pour défendre leurs droits fonciers et renforcer les partenariats pour une meilleure application des DVGF à tous les niveaux; Renforcer leurs capacités pour une participation e
Ce guide est le premier d’une série consacrée à l’application pratique,sur des cultures de petits producteurs et des systèmes de production agricole spécifiques, du modèle «Produire plus avec moins» de la FAO. Sa publication intervient alors que la production du manioc s’intensifie à l'échelle mondiale, avec une transition des producteurs utilisant les systèmes traditionnels de culture vers la monoculture, vers des génotypes à rendement élevé et vers un recours accru aux produits agrochimiques.
“Working with the CDAIS project has given us not only knowledge and skills, but also the confidence to make connections with the government and other partners.” says Mrs Dao Sansihalath, member of the Xanakham women’s pig rearing group. “What we have learnt is practical and is helping us grow our business without having to make a lot of costly mistakes.” This has been achieved through support from the CDAIS project since 2016.
Individual farmers often receive low prices for their harvest, and pineapple producers in Bangladesh are no exception. To help them, CDAIS facilitated a series of meetings and coaching. Starting with a capacity needs assessment workshop in April 2017, a coaching plan was developed to meet capacity gaps identified by the partnership of pineapple producers, complete with an action plan. The partnership also participated in a ‘marketplace’ event in Dhaka, a regional policy dialogue and two phases of capacity-building training. The result?
“We realized that we need to work together, and are now seeing changes happen” said Omar Ali, President of the newly formed Shibganj Mango Association. Farmers and orchard owners saw the need to change when interest in mango production grew after exports to the EU started in 2015. With technical assistance from several initiatives, the first 12 registered farmers began to follow ‘good agricultural practices’.
Today, entering Trishal, Mymensingh on the road from Dhaka, one sees rows of fish ponds. One after the other, they show a massive diversification from rice to fish cultivation in recent years, and an intensification of production. The tradeoffs between green crops and silver fish appear to be clear, as ever more farmers see the benefits in terms of profits and returns, and make the move into fish farming.
Participatory forest management is credited for supporting social learning processes and fostering capacity of forest users for collaboration and collective actions. Despite more than a decade of practice, the empirical evidence substantiating the contribution of participatory management for the capacity development of forest users is scarce. This study assesses a participatory forest management program in Madhupur Sal forest, Bangladesh, by comparing the capacity of de-facto groups of participants and nonparticipants and identifies factors that influence the capacity development.