This chapter explores the interrelationships between economic change and environmental issues, by showing how aspiration, education, and migration are variously connected to a loss of agroecological knowledges for rural young people. It reviews a series of case studies from Vietnam, India, and China on the implications for rural youth of changed aspirations and ecological and economic stress. The economic and cultural pressures of globalization mean young people increasingly aspire for a life outside of agrarian- and natural resource-based livelihoods.
Africa RISING (AR) is a research-for-development program that aims to create opportunities for smallholder farmers to move out of hunger and poverty through sustainable intensification of their farming systems.
In 2010 the Brazilian Government established a goal to reduce the emissions of greenhouse gases (GHG) by agriculture from 36.1 up to 38.9% in ten years (2010 -2020). To contribute for reaching part of this purpose in Tocantins State, Embrapa and other research and extension services partners have been conducting a project of technology transference on sustainable agricultural practices, including integrated crop-livestock-forestry (ICLF), since 2012.
In Pium, Tocantins state, Brazil, in 2012 Embrapa developed a technology transference project in partnership with the state?s rural extension service for the consolidation of low carbon emissions agriculture. The goal was to recover the degraded grasslands of the Trigueira farm (49°1'37.44"W and 10°24'58.84"S) with low cost using a crop-livestock system.
The "Technological Innovation Act", promulgated in Brazil in 2004, represents the main legal framework implemented to promote technological innovation and to delineate a favorable scenario for scientific development in Brazil. It regulates specially the relationship between Scientific and Technological Institutions (STI) - such as universities and public research institutes - and private companies in Brazil.
C’est en 1954 que les paysans de la Commune rurale de l’Imanan, située dans l’Ouest du Niger, ont commencé la culture de pomme de terre. Partie d’une simple culture d’appoint associée à d’autres spéculations, la production de pomme de terre fait maintenant partie intégrante des systèmes de productions locaux. C’est la principale stratégie adaptative des paysans pour faire face aux crises alimentaires.
Ce guide est né d’une demande de paysans africains qui souhaitaient s’engager dans des pratiques agricoles plus respectueuses de leur environnement et plus durables. Il a été conçu comme un outil d’accompagnement destiné à tous les paysans et techniciens souhaitant développer l’agroécologie et l’agroforesterie en zone tropicale humide. Après un rapide rappel du contexte et des enjeux actuels de l’agroécologie, il fournit des informations techniques, issues de l’expérience de quatre « terrains » (République démocratique du Congo, Myanmar, Cambodge et Inde).
Cet article interroge les opportunités et les défis de la demande et de la consommation locales en Afrique de l‘Ouest. Permettre à l’agriculture familiale de bénéficier pleinement de la croissance de la demande régionale nécessitera de travailler davantage sur la structuration des filières, l’aval de la production et le commerce.
Cet article analyse les conditions d’accès aux connaissances dans l’univers des politiques publiques agricoles et leurs conséquences en termes de verrouillage technologique sur des solutions techniques dépendantes de l’usage de pesticides. À partir de l’identification des réseaux d’action publique impliqués dans le développement de l’Agriculture de conservation (AC), il montre une situation d’inégalité entre acteurs pour l’accès aux ressources permettant de développer des techniques innovantes.
L’alimentation en eau et la protection des milieux aquatiques sont confrontées aux pollutions diffuses d’origine agricole dans le nord-ouest de la France. Les politiques de gestion des ressources en eau s’appuient à présent sur la participation des agriculteurs afin de concevoir des solutions adaptées aux territoires. En effet, si la réglementation est nécessaire, elle n’est pas suffisante pour atteindre une qualité satisfaisante sur de nombreux bassins versants fortement pollués par les nitrates, le phosphore ou les produits phytosanitaires.