Este material tiene como propósito brindar herramientas y recursos para promover y fortalecer los procesos asociativos en el territorio, y está destinado a los equipos técnicos del INTA y también de todas aquellas organizaciones e instituciones que trabajan en la promoción del desarrollo de los agricultores familiares. Ofrece pautas y orientaciones para los grupos asociativos que recién se están conformando y también para aquellos que ya tienen un camino recorrido.
Las políticas públicas inclusivas requieren de cambios en el marco institucional y normativo; en las prácticas de cómo funcionan las instituciones; en la lógica de actuación de sus dirigentes y funcionarios; en los métodos de implementación de las políticas y programas; y en el enfoque de aterrizaje de las acciones.
La documentación de casos de éxito refiere una labor con satisfactores paralelos. Por una parte, la constatación inmediata de la correcta aplicación de la metodología y los recursos humanos y materiales destinados al Proyecto Estratégico de Seguridad Alimentaria (PESA) en México. Por otra parte, ser testigos de cómo los beneficios se reflejan en los productores, en las familias, en las comunidades y en las regiones.
El proyecto insignia “Inclusión en la agricultura y los territorios rurales” del Instituto Interamericano de Cooperación para la Agricultura (IICA) pone énfasis en la inclusión de los segmentos que tradicionalmente han sido excluidos de los benefcios de los procesos de desarrollo de la agricultura y de las economías rurales.
Este volante muestra las acciones para mejorar la capacidad de los países para mitigar y adaptarse al cambio climático y utilizar mejor los recursos naturales.
Une nouvelle vidéo montre comment les paysannes en Afrique de l’Ouest travaillent pour protéger la production traditionnelle d’huile de palme face à l'impact destructeur de l'expansion des plantations industrielles de palmiers à huile.
Les systèmes semenciers paysans nourrissent le monde et font preuve de résilience face aux catastrophes naturelles. Cependant, ils sont menacés par l’emprise croissante des entreprises sur la nature et par l’accélération de la destruction de la biodiversité agricole. De plus en plus, les sociétés des semences et de l’agrochimie cherchent à privatiser, monopoliser et contrôler les semences en déposant des brevets et en encourageant la marchandisation de la source même de la vie.
2015 a été une année marquante pour l’avenir de la planète et donc pour l’avenir de chaque femme, chaque homme, chaque enfant, fille ou garçon, aux quatre coins du monde. Deux événements importants – le Sommet des Nations Unies sur le développement durable 2015 et la COP21, sur le développement et le changement climatique, ont donné lieu à des engagements concrets et sans précédent à l’échelle mondiale pour éradiquer la pauvreté d’ici à 2030 et promouvoir la protection de l’environnement.
La plupart des personnes pauvres et qui souffrent de la faim, dans le monde, sont des ruraux qui tirent un maigre revenu de l’agriculture. En 2010, sur les 1,2 milliard de personnes extrêmement pauvres, quelque 900 millions vivait en milieu rural. Environ 750 millions de ces personnes travaillaient dans l’agriculture, généralement comme petits exploitants familiaux (Olinto et al., 2013). On estime que 200 millions de ruraux pauvres pourraient émigrer vers les villes ces 15 prochaines années, mais la plupart d’entre eux resteront toutefois à la campagne.
Dans le cadre d’un programme financé par l’Union Européenne, les ONG GLOPOLIS, SOS FAIM et VECO et leurs partenaires paysans concernés ont mené plusieurs études sur les filières de production de riz dans 5 pays d’Afrique de l’ouest : le Bénin, le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Sénégal.