L’économie tunisienne a subi de plein fouet les effets de la crise sanitaire Covid-19 et des mesures indispensables pour la juguler prises par les pouvoirs publics comme la fermeture des frontières et le confinement de la population. L’agriculture a dû faire face aux mêmes difficultés ; toutefois, la courte durée du confinement total et la décision des autorités d’exclure les activités agricoles de certaines restrictions ont réduit les effets de la crise sanitaire sur la disponibilité des produits alimentaires.
Dans un contexte de rareté de l'eau, les pays de l’Afrique du Nord Ouest (NWA) consomment 70% de leurs ressources en eau renouvelables. La surexploitation des eaux souterraines, estimée à près de 50%, est devenue un défi majeur pour la conception et la mise en oeuvre de politiques durables d'allocation et de gestion de l'eau dans la région. Cette situation menace l'avenir de l'irrigation, où la contribution des eaux souterraines est déterminante : 100 % en Libye, 68 % en Tunisie, 54 % en Algérie.
La sécurité alimentaire de l’Algérie est en grande partie dépendante de deux facteurs fortement impactés par la pandémie de la covid-19 : les finances publiques et le marché mondial des produits alimentaires. Le poids des importations dans la satisfaction des besoins alimentaires du pays témoigne de cette sensibilité aux perturbations du fonctionnement de ce marché mondial.
La filière oléicole constitue actuellement un des segments important pour le développement de l’économie en Algérie. Cependant, le secteur est confronté à un double défi : Faiblesse des productions et une faible compétitivité-prix. De par sa situation et ses potentialités naturelles et économiques, l’Algérie doit faire partie des principaux pays méditerranéens, producteurs d’huile d’olive.
Méthodologie: suivant une démarche préventive, notre travail s’intéresse aux conséquences nutritionnelles liées à la santé et représentant un facteur de changement climatique influant sur l’efficience des politiques préventives mises en œuvre.
Les processus naturels et de l’action anthropique ont des conséquences sur la baisse de la productivité des terres agricoles. C’est ainsi que les agriculteurs dans les localités qui sont affectées, mettent en œuvre diverses technologies de gestion des terres en vue d’améliorer la productivité. L’objectif de cette étude était d’évaluer l’effet des composantes de la technologie ‘Microdose’ sur la performance économique et financière des exploitations agricoles dans les localités de Kouritenga et Zondoma au Burkina Faso.
Pour accompagner les efforts d’adaptation au changement climatique couplé à la rareté des ressources en eau et promouvoir une agriculture durable à forte valeur ajoutée, la TIL est l'un des moyens les plus significatifs pour améliorer la productivité de l'eau en agriculture. Au Maroc, En dépit des efforts et incitations financières pour accélérer l’adoption de la TIL, les superficies actuellement équipées de cette technologie ne représentent qu'une part négligeable du potentiel.
L’étude propose une série de mesures qui s’avèrent nécessaires et urgentes pour sauver, consolider et revoir le secteur agricole dans cette situation entourant le coronavirus en Tunisie, et ce, afin de pouvoir penser l’après-Covid-19.
La maladie du covid-19 est devenue une pandémie qui a engendré une crise économique mondiale sans précédent. Cette crise a remis en cause la stabilité des équilibres assurant la sécurité alimentaire mondiale. Les modes de production et de consommation se trouvent aujourd’hui questionnés. Cette pandémie met en exergue les faiblesses et les inégalités existantes dans les systèmes de la santé ainsi que dans les systèmes agricoles et alimentaires.
Selon les évaluations de la FAO, à l’échelle de la planète, 45 pays, dont 34 en Afrique et 9 en Asie, ont besoin d’une aide alimentaire extérieure. Les conflits et les chocs météorologiques demeurent des facteurs critiques qui contribuent aux taux actuellement élevés d’insécurité alimentaire grave. Les effets de la pandémie de covid-19 ont exacerbé les vulnérabilités et accru les besoins humanitaires.