Despite myriad challenges, Kenya has emerged in recent years as one of Africa’s frontier economies, with headline growth in the most recent decade propelling the country toward middle-income status. Less well understood is how risk dynamics associated with production, markets, and policy adversely impact sector performance, in terms of both influencing ex ante decision making among farmers, traders, and other sector stakeholders and causing ex post losses to crops, livestock, and incomes - destabilizing livelihoods and jeopardizing the country’s food security.
Humanity is faced with the challenge of ensuring food security for all, while respecting the earth’s ecological boundaries. Organic agriculture makes a valuable contribution here. In Africa, certified organic farming is limited to just 0.2 percent of agricultural land – compared to all other continents, the smallest share worldwide. The potential for expanding organic agriculture is great, because it is economically viable in the long term, preserves human, animal and environmental health and conserves soil resources.
Le renforcement des capacités est maintenant d’une actualité brûlante en Afrique. Avec d’autres bailleurs de fonds, la banque recherche des moyens appropriés de collaborer avec les gouvernements africains pour les rendre mieux à même de mettre en oeuvre des programmes de développement sur tout le continent. Étant donné le caractère rural de la plupart des économies africaines et la concentration de pauvres dans les zones rurales, il est urgent de renforcer les capacités pour promouvoir le développement agricole.
PAEPARD appuie et assiste trois consortiums de recherche liés à l’aflatoxine dans leur travail destiné à : (a) éradiquer les déchets de l’aflatoxine avant et après les récoltes dans la filière arachide au Malawi et en Zambie ; (b) développer des stratégies visant à réduire la contamination par des toxines fongiques pour améliorer l’approvisionnement alimentaire, la nutrition et les revenus le long de la filière maïs dans les zones arides et semi-arides de l’est du Kenya ; et (c) développer des protocoles de gestion des aliments du bétail pour les producteurs laitiers dans les zones à forte
Innovation for sustainable agricultural intensification (SAI) is challenging. Changing agricultural systems at scale normally means working with partners at different levels to make changes in policies and social institutions, along with technical practices. This study extracts lessons for practitioners and investors in innovation in SAI, based on concrete examples, to guide future investment.
Cette publication offre de nombreux exemples concrets détaillant différentes manières de réengager les jeunes dans le secteur agricole. Elle montre à quel point des programmes éducationnels sur mesure peuvent offrir aux jeunes les compétences et la perspicacité nécessaires pour se lancer en agriculture et adopter des méthodes de production respectueuses de l’environnement. Beaucoup des approches ou des initiatives décrites dans cette publication sont issues des jeunes eux-mêmes.
Climate smart agriculture (CSA) technologies are innovations meant to reduce the risks in agricultural production among smallholder farmers. Among the factors that influence farmer adoption of agricultural technologies are farmers' risk attitudes and household livelihood diversification. This study, focused on determining how farmers' risk attitudes and household livelihood diversification influenced the adoption of CSA technologies in the Nyando basin. The study utilized primary data from 122 households from two administrative regions of Kisumu and Kericho counties in Kenya.
This article investigates determinants and impacts of cooperative organization, using the example of smallholder banana farmers in Kenya. Farmer groups are inclusive of the poor, although wealthier households are more likely to join. Employing propensity score matching, we find positive income effects for active group members. Yet price advantages of collective marketing are small, and high-value market potentials have not yet been tapped. Beyond prices, farmer groups function as important catalysts for innovation adoption through promoting efficient information flows.
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
This poster shows the ILRI and CGIAR activities to enhance Capacity development in the year of 2018