Mobile phone based money services have spread rapidly in many developing countries. We analyze micro level impacts using panel data from smallholder farmers in Kenya. Mobile money use has a large positive net impact on household income. One important pathway is through remittances, which contribute to income directly but also help to reduce risk and liquidity constraints, thus promoting agricultural commercialization. Mobile money users apply more purchased inputs, market a larger proportion of their output, and have higher farm profits.
Cet article présente les résultats clés tirés de l’analyse transversale de 13 expériences d’innovation agricole menées au Bénin, au Kenya et en Afrique du Sud. L’évaluation a utilisé un cadre analytique commun inspiré de l’approche systèmes d’innovation pour comprendre comment l’innovation a évolué au fil du temps via les interactions entre différents acteurs et sous l’effet d’éléments déclencheurs et moteurs internes et externes.
This report is the result of a study that was carried out for the African Forum for Agricultural Advisory Services (AFAAS), to make an inventory of experiences with ‘market-oriented agricultural advisory services’ (MOAAS). Lessons learned have been drawn from the cases studied. These lessons are the basis for guidelines formulated for setting up market-oriented agricultural advisory services.
This poster shows the ILRI and CGIAR activities to enhance Capacity development in the year of 2018
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
This article investigates determinants and impacts of cooperative organization, using the example of smallholder banana farmers in Kenya. Farmer groups are inclusive of the poor, although wealthier households are more likely to join. Employing propensity score matching, we find positive income effects for active group members. Yet price advantages of collective marketing are small, and high-value market potentials have not yet been tapped. Beyond prices, farmer groups function as important catalysts for innovation adoption through promoting efficient information flows.
Climate smart agriculture (CSA) technologies are innovations meant to reduce the risks in agricultural production among smallholder farmers. Among the factors that influence farmer adoption of agricultural technologies are farmers' risk attitudes and household livelihood diversification. This study, focused on determining how farmers' risk attitudes and household livelihood diversification influenced the adoption of CSA technologies in the Nyando basin. The study utilized primary data from 122 households from two administrative regions of Kisumu and Kericho counties in Kenya.
Cette publication offre de nombreux exemples concrets détaillant différentes manières de réengager les jeunes dans le secteur agricole. Elle montre à quel point des programmes éducationnels sur mesure peuvent offrir aux jeunes les compétences et la perspicacité nécessaires pour se lancer en agriculture et adopter des méthodes de production respectueuses de l’environnement. Beaucoup des approches ou des initiatives décrites dans cette publication sont issues des jeunes eux-mêmes.
Innovation for sustainable agricultural intensification (SAI) is challenging. Changing agricultural systems at scale normally means working with partners at different levels to make changes in policies and social institutions, along with technical practices. This study extracts lessons for practitioners and investors in innovation in SAI, based on concrete examples, to guide future investment.
PAEPARD appuie et assiste trois consortiums de recherche liés à l’aflatoxine dans leur travail destiné à : (a) éradiquer les déchets de l’aflatoxine avant et après les récoltes dans la filière arachide au Malawi et en Zambie ; (b) développer des stratégies visant à réduire la contamination par des toxines fongiques pour améliorer l’approvisionnement alimentaire, la nutrition et les revenus le long de la filière maïs dans les zones arides et semi-arides de l’est du Kenya ; et (c) développer des protocoles de gestion des aliments du bétail pour les producteurs laitiers dans les zones à forte