L’Agriculture de Conservation est un système s’inscrivant dans la démarche de l’agroécologie, fondé sur le non-labour, la couverture permanente du sol par des végétaux et des rotations longues et diversifiées. Le système vise à améliorer la productivité sur le long terme en respectant les services écosystémiques générés par l’activité biologique du sol et la matière organique qu’il contient. Les techniques de non-labour se sont développées sur le continent américain et en Australie. Elles prennent à présent de l’ampleur en Europe.
Cet article aborde la mise en place d’un projet d’agroforesterie villageoise, pour la gestion intégrée des ressources naturelles, dans le hameau de Duale Mitterrand (52 ménages) situé sur le plateau des Batéké (République démocratique du Congo). Il repose sur un travail de terrain effectué entre février et mai 2012 dans le cadre du mémoire de fin d’études du master en sciences et gestion de l’environnement de l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
L’alimentation en eau et la protection des milieux aquatiques sont confrontées aux pollutions diffuses d’origine agricole dans le nord-ouest de la France. Les politiques de gestion des ressources en eau s’appuient à présent sur la participation des agriculteurs afin de concevoir des solutions adaptées aux territoires. En effet, si la réglementation est nécessaire, elle n’est pas suffisante pour atteindre une qualité satisfaisante sur de nombreux bassins versants fortement pollués par les nitrates, le phosphore ou les produits phytosanitaires.
Exclusion of Indigenous and local communities' connections to the rest-of-nature is a typical problem in policy-decision making. This paper highlights the key attributes of these connections and suggests evaluation pathways to mainstream them into policy development. For this, we integrate and apply the ecosystem services (ES) and human capability concepts.
This paper reviewed the potential of underutilized indigenous and traditional crops to bring about a transformative change to South Africa’s food system. South Africa has a dichotomous food system, characterized by a distinct, dominant agro-industrial, and, alternative, informal food system. This dichotomous food system has inadvertently undermined the development of smallholder producers.
Agricultural innovation in low-income tropical countries contributes to a more effective and sustainable use of natural resources and reduces hunger and poverty through economic development in rural areas. Yet, despite numerous recent public and private initiatives to develop capacities for agricultural innovation, such initiatives are often not well aligned with national efforts to revive existing Agricultural Innovation Systems (AIS).
Local gender norms constitute a critical component of the enabling (ordisabling) environment for improved agricultural livelihoods–alongsidepolicies, markets, and other institutional dimensions. Yet, they havebeen largely ignored in agricultural research for development.
Este artículo tiene como objetivo elaborar un proyecto de desarrollo sostenible y sustentable de fincas productoras mediante procesos participativos en el municipio de Sáchica, Boyacá. La investigación se realizó con familias campesinas de la vereda Arrayán Alto, del municipio de Sáchica, Boyacá, mediante la metodología Investigación Acción Participativa (IAP), que se centra en la participación de las comunidades para elaborar propuestas concertadas con ellas.
Se discute en este ensayo al sistema tecnológico milpa intercalada en árboles frutales (MIAF), como alternativa a MasAgro, para hacer más productiva y sustentable la agricultura tradicional en pequeño de México. El MIAF ha sido desarrollado por el Instituto Nacional de Investigaciones Forestales, Agrícolas y Pecuarias y el Colegio de Postgraduados en Ciencias Agrícolas en más de 30 años de colaboración. Su diseño persigue la intensificación del paradigma de la agricultura tradicional (PAT) en pequeño.